La fête de la musique 2009 (1)
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... s’activait dans ma fente, autour de mon petit bouton érigé et sensible, et je regardais Léo avec une expression de chatte en chaleur. Il se plaça derrière moi, et écarta ma main de mon abricot pour la remplacer par la sienne, et positionna mes doigts couverts d’une épaisse couche de cyprine luisante, dans le sillon de mes fesses. Je ressentais un désir trouble, et je fis tourner quelques secondes mon majeur autour de ma rosette, avant de l’y enfoncer lentement. Je ressentis comme une décharge, mais en même temps, Léo pénétrait d’un ample mouvement de reins mon minou en feu. Les mouvements de son gland dans mon intimité, au même rythme que ceux de mon doigt dans mon petit cul, décuplèrent mon excitation. Il me tringla longtemps dans cette position, attendant que, de ma propre initiative, mon index, puis mon annulaire, viennent rejoindre le premier doigt coulissant toujours dans mon anus. C’étaient maintenant de véritables hurlements de plaisir que je lançais. Mais je ne lui avais pas encore demandé de planter son énorme pieu dans mon petit trou. Il déplaça ma main pour la remplacer par la sienne, et ses doigts s’enfoncèrent encore plus profondément entre mes fesses, qu’il écartelait, et il commença à les faire tourner, vrillant mon œillet de plus en plus dilaté. Cette fois, j’étais prête à lui offrir tout ce qu’il voulait… — Vas-y, je te veux, gémis-je. — Qu’est ce que tu veux?, me demanda-t-il, sadique. — Salaud! Tu tiens à me l’entendre dire… Je veux que tu m’encules!!! ...
... Alors seulement, il ôta ses doigts, se retira de ma chatte qu’il avait continué de pilonner, et remonta son gland dans le sillon séparant les deux globes de mes fesses. Il les écarta au maximum, et son sexe commença à pousser, de plus en plus fort, contre l’entrée de mon cul. Lentement, ma rosette s’ouvrit, et il me pénétra progressivement, millimètre par millimètre, sans aucune brutalité. Je poussais des petits cris inarticulés, en découvrant des sensations inconnues. Après l’impression un peu désagréable que mon petit trou allait exploser, la progression de l’énorme gland excitant mes terminaisons nerveuses devenait agréable. Le plaisir montait, inexorable. Léo s’est enfoncé en moi, de plus en plus profondément. Il me semblait qu’il remplissait mon ventre, et je contractais instinctivement mes muscles autour de sa longue tige coulissant dans mon étroit fourreau. Lorsque son pubis toucha mes fesses, il marqua une pause, attendant que je manifeste mon désir en ondulant des hanches, puis il se retira à demi, avant de me pénétrer de nouveau de toute la longueur de son membre. Je poussai un long cri de plaisir, et il se mit à aller et venir, d’abord doucement, puis de plus en plus vite. Il s’accordait à la montée de ma jouissance, avec l’art consommé d’un expert, jusqu’à ce qu’un orgasme m’emporte, mon premier orgasme anal. Il se contrôlait, et après avoir ralenti pour me laisser récupérer, il a recommencé à me défoncer le cul, cette fois encore plus profondément. Et j’ai joui à ...