Ma colocataire (4)
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
Lesbienne
L’éducation . J’ai pensé à Magalie toute la journée du lendemain. Elle m’avait complètement possédée, et où qu’elle m’entraîne, j’étais bien décidée à la suivre. Mes cours s’étant terminés assez tôt, je suis arrivée la première dans la chambre. J’ai ôté ma culotte, relevé mon kilt pour me laver l’entrejambe au lavabo que nous avions en commun. Je voulais être prête au cas où... Puis je me suis assise à ma table, me suis mise au travail. La perverse rentra une heure après, et comme si de rien n’était, me sortit les banalités habituelles avant de s’atteler aux lectures qu’elle avait à faire. Ma seule consolation fut de pouvoir accéder facilement à mon intimité. Plus tard, au réfectoire, assise à côté d’elle, j’ai écarté les jambes dans l’espoir qu’elle y glisserait sa main. En vain. Le supplice perdura toute la soirée ; Magalie se battait avec Marx, et moi avec Fourier. Enfin, vers onze heures, elle rangea livres et cahiers. Elle mit le plus grand soin à préparer son sac pour le lendemain, toujours sans m’accorder un mot ni un regard. Puis elle se leva, se dirigea vers son lit, se dévêtit avec une lenteur inhabituelle, disposant méthodiquement ses habits sur sa chaise. Quand elle n’eut plus sur elle que ses sous-vêtements, elle s’approcha de moi, m’enjoignit de les lui enlever. J’ai commencé par le soutien-gorge, dévoilant une jolie poitrine. Je n’osais tâter ses seins malgré l’envie que j’en avais. — Comment les trouves-tu ? Pas mal, non ? Minauda-t-elle. Elle sortait à ...
... peine de l’adolescence, et la gravitation n’avait pas encore eu le temps de modeler ses seins. Ils pointaient comme deux obus miniatures, avec un détonateur assez large, et foncé. L’excitation avait contracté ses mamelons, les faisant saillir comme si elle y avait appliqué des glaçons. Sa jeunesse se voyait aussi à ses hanches fines et peu galbées. Son nombril parfaitement circulaire mettait en valeur un ventre plat. Je lui descendis lentement son slip, et quand je vis apparaître ses premiers poils, Magalie se retourna pour m’exhiber ses fesses. Je découvris alors avec admiration les deux ravissantes fossettes qu’elle avait au bas des reins. Magalie avait des fesses de petite fille. Je n’eus pas le temps de m’émouvoir sur ce mélange de femme et d’adolescente, car elle se retourna à nouveau, m’exhibant son intimité. Un triangle équilatéral presque parfait de poils bruns peu fournis laissait deviner une médiatrice pleine de promesses. Une auréole jaune marquait le fond de sa culotte de coton, descendue à mi-cuisses. Elle leva une jambe après l’autre pour me permettre de récupérer le slip. C’était manifestement une invite à l’utiliser, c’est du moins ainsi que je l’ai compris. J’ai posé sur mon visage l’empiècement où se dessinait la tache jaune. C’était humide. Je suis restée plusieurs secondes à la humer, m’enivrant de son parfume où dominait nettement l’odeur d’urine. Magalie me regardait, l’air à la fois incrédule et ravie. — Tu aimes ? J’ai opiné d’un mouvement de tête. Elle ...