1. Ma colocataire (4)


    Datte: 02/09/2019, Catégories: Lesbienne

    ... s’est allongée sur le lit. — Alors, lèche-moi comme hier. Tu m’as rendue dingue, je n’ai pensé qu’à ça. Je me suis mise à genoux ; elle a écarté les jambes. Ses lèvres fines, d’un rose tendre, brillaient. Je les ai ouvertes avec mes pouces. L’intérieur était tapissé d’une liqueur opaque. J’y ai plongé mon nez : l’odeur était enivrante. Puis j’ai léché son méat. Le goût était salé. La coquine avait préparé son coup. Je revivais le baiser d’Christine, sauf que c’est moi qui agissais. Je me suis arrêtée juste avant qu’elle jouisse : c’était mon tour de la torturer. — Vas-y, continue... Ah ! C’est bon ! Pour l’exciter encore plus, j’ai fait semblant de la gronder : — Tu n’as pas honte de faire pipi-culotte à ton âge ? Je parie que tu l’as fait exprès pour me le faire lécher, petite cochonne ! Comme je l’avais prévu, le simple fait de lui dire que j’entrais dans son jeu suffit à la faire partir. Elle cria. Ses yeux grands ouverts se révulsèrent pendant quelques fractions de secondes. C’est étonnant comme la jouissance sur un visage peut ressembler à la souffrance. J’attendis qu’elle ait retrouvé ses esprits. — Jamais, je n’ai eu autant de plaisir, me dit-elle. C’est vrai qu’hier, tu m’as chauffée à blanc avec tes histoires. J’ai voulu savoir l’effet que ça produisait, et j’ai fait exactement la même chose que toi, après ta visite médicale. Toute la journée, j’ai espéré que tu me lécherais. En l’écoutant, je réalisais que c’était notre cerveau qui commandait nos zones érogènes, ...
    ... qu’il était le siège de la sexualité. Les bonnes sœurs avaient essayé de me dégoûter du sexe et de me détourner des plaisirs sensuels, mais la curiosité et l’excitation avaient passé outre à l’interdit ; il en était de même pour Magalie. — Ça y est, dit celle-ci, je suis revenue sur terre, on va s’occuper de toi. J’étais toujours à genoux. Elle m’aida à me relever, passa sa main entre les pans de mon kilt pour me caresser la fente. — Oh ! Tu n’as pas de culotte ! Voyons si tu es aussi négligée que moi. Elle sentit ses doigts, les goûta. — Ah non, c’est tout propre ! — Oui, je me suis lavée tout à l’heure... — Je vois. Mademoiselle veut me faire honte ! Eh ben, si tu veux être propre, j’ai une idée pour que tu le sois encore plus ! Magalie me fit ôter mon kilt, m’ordonna de m’asseoir au bord du lit, jambes écartées. En se levant pour aller fouiller dans sa trousse de toilette, elle m’exhiba ses fesses et ses fossettes. Pendant qu’elle était occupée, j’ai achevé de me déshabiller. Elle revint près de moi en brandissant une paire de ciseaux... Dans les années quatre-vingt, on sortait tout juste de la révolution sexuelle, et c’était encore la période sans soutien-gorge, mais avec les poils en friche. Magalie allait donc encore une fois dynamiter un tabou. Excitée comme je l’étais, j’étais prête à accepter n’importe quoi. S’installant confortablement à mes pieds, elle entreprit de couper mes poils. Le froid de la lame sur ma peau me fit frissonner. Une première touffe tomba. Ma ...