Ma colocataire (4)
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
Lesbienne
... copine me débarrassa de ma toison, et quand elle eut fini, elle s’arrêta pour me montrer son œuvre. — Passons à la seconde phase, si mademoiselle veut bien s’approcher du lavabo. Elle fit couler l’eau, fourragea à nouveau dans ses affaires. Je vis apparaître un rasoir, un blaireau et de la crème à raser. Elle fit rapidement mousser la crème dans un bol, puis s’asseyant sur une chaise, face à moi, trempa le blaireau dans le bol. Elle me le me passa, en insistant sur des endroits pourtant dépourvus de poils. Elle le faisait remonter en forçant l’ouverture de ma fente ; ça me donnait des frissons à travers tout le corps. eztebbrq — Ne bouge pas, dit-elle en s’interrompant, j’ai besoin de concentration pour le rasage. D’une main experte, Magalie supprima les poils qui avaient échappé aux ciseaux. Un rapide passage de son gant de toilette pour rincer, un coup de serviette, et j’étais prête pour l’inspection. Le miroir me renvoya plusieurs années en arrière, avant ma puberté. — Regarde, c’est pas mignon ? Viens, on va l’essayer. Couche-toi sur mon lit. Elle se plaça au-dessus de moi tête-bêche et me lécha partout où le rasoir était passé. Encore une sensation nouvelle pour moi. Je me suis sentie nue comme je ne l’avais ...
... jamais été. Magalie fit une pause. Elle s’assit sur mon visage. — Vas-y, fais ma toilette. J’eus tout le loisir, pendant qu’elle s’occupait de mon sexe, d’admirer son intimité béante à quelques centimètres de mon visage, avant d’y passer la langue. Quand elle atteignit mon clitoris, je pris mon plaisir. Magalie se retourna ensuite, et toujours à califourchon mais face à moi, se masturba quelques secondes, s’excitant elle-même de son exhibition. Je sentis couler quelque chose sur mes seins : Magalie jouissait. Je pensais que nous allions en rester là, mais elle avait encore une idée derrière la tête. — Tu veux me faire plaisir ? Comme si j’avais envie de lui refuser quoi que ce soit ! Sans attendre la réponse, elle alla chercher mon verre à dents. — Allez, dit-elle, c’est l’heure de l’entraînement, pas plus d’un centimètre. Je me suis levée, j’ai pris le verre, je me suis cambrée, j’ai écarté mes lèvres, puis approché le flacon de mon sexe. Magalie s’était accroupie à mes pieds pour ne rien manquer du spectacle. Après avoir émis quelques gouttes, j’ai attendu les nouvelles instructions. Magalie écarta le verre, colla sa bouche à ma fente, et de la pointe de sa langue, chercha mon méat. — Recommence ! dit-elle en se retirant.