Qui bene amat... bene castigat !
Datte: 04/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
couple,
extracon,
grossexe,
jardin,
soubrette,
vengeance,
fsodo,
... expression : elle est là pour faire passer un message à Gaius, pas pour jouer les jeunes filles qui découvrent la vie. Elle plante à nouveau ses prunelles grises dans celles d’ébène de son amant ligoté, et essaye d’y faire passer tout le plaisir qu’elle prend sous les coups de boutoir d’Atep, toute la passion qu’il déchaîne en elle, et toute la colère qui l’habite. Et elle jouit encore davantage de la situation lorsqu’elle voit dans les yeux de son amant la même colère et surtout le même désir charnel. À son tour d’être spectateur de la jouissance de sa moitié… Et Flavia n’a pas l’intention de perdre la moindre miette du plaisir que lui donne Atep. Elle gémit sous les puissants coups de reins qu’il lui assène entre les cuisses, sentant le grand membre aller et venir dans son intimité. Elle sent les grandes mains chaudes et calleuses lui étreindre les hanches, serrant et pétrissant sa peau avec une force et une sensualité infinies. Elle sent le souffle humide de l’esclave balayer son dos, et sa propre respiration se soumettre au rythme qu’il lui impose. Et face à elle se trouve une autre virilité dressée, plus modeste, mais tout aussi arrogante dans son érection, et tout aussi excitante aux yeux de Flavia. Tout comme l’excite le corps tout entier de son amant, qu’elle contemple longuement, les muscles secs et fins de ses bras et de ses jambes, son torse puissant, sa peau mate de latin, et la riche toison noire qui entoure le mât qu’elle connaît si bien, et qui n’aurait ...
... jamais dû en connaître une autre. Gaius peut bien mettre autant de haine qu’il veut dans son regard : il ne peut cacher ni sa queue tendue, ni sa culpabilité. Soudain, l’énorme organe d’Atep s’échappe de l’entrejambe de Flavia. Elle l’attrape aussitôt pour le remettre en place, mais interrompt son geste ; et si elle rendait la pareille à Gaius jusqu’au bout ? Et si… elle guidait ce gland jusqu’à l’étroit passage de ses fesses pour s’y empaler, comme l’a fait Gwendoline hier ? Poussée par la curiosité, elle amène du bout des doigts le mât devant son œillet, mais la sensation du large membre contre son tout petit trou la fait frémir et vite se raviser : ce n’est pas aujourd’hui qu’un membre d’homme franchira son anus. Elle ramène donc Atep devant ses lèvres, qu’il écarte à nouveau en s’enfonçant dans sa maîtresse, ce qui malgré son état d’excitation lui arrache à nouveau un cri, mais de plaisir cette fois. Il recommence son va-et-vient à la plus grande joie de Flavia, et pour le plus grand malheur de Gaius qui se secoue dans tous les sens pour se libérer de ses liens. Mais ils sont solides, et il est contraint de regarder impuissant sa fiancée gémir sous les assauts du colosse. Et bientôt les assauts lents et réguliers se muent en furieux coups de bassin et les gémissements de la belle deviennent des cris d’extase. La pression des mains d’Atep devient presque douloureuse, comme s’il voulait broyer les hanches de Flavia ; elle a aussi l’impression que chaque pénétration manque de ...