Qui bene amat... bene castigat !
Datte: 04/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
couple,
extracon,
grossexe,
jardin,
soubrette,
vengeance,
fsodo,
... pris une teinte de bronze, leurs corps se rapprochent encore davantage, et Flavia sent les mains de son homme se glisser sous sa robe. Elle-même commence à s’aventurer sous sa tunique blanche, caressant les muscles secs et bien dessinés de Gaius tandis qu’il pétrit doucement sa poitrine. Leur souffle se fait de plus en plus court à mesure qu’ils explorent le corps de l’autre, les petits seins ronds et fermes de Flavia commençant à pointer tandis qu’une excroissance se forme sous la tunique de Gaius. Se sentant à l’étroit dans leurs vêtements, ils s’en débarrassent vite sur le sol et bien vite ils reprennent leurs attouchements de plus belles, n’épargnant aucune parcelle de peau. De ses lèvres humides, Flavia couvre de baisers passionnés les épaules et la poitrine musclées de son amant ; elle adore la saveur musquée de sa peau et la chaleur de son souffle dans son cou. Tout comme elle adore quand, comme en ce moment, il l’attire à elle pour embrasser ses longs cheveux noirs avec passion, humant le parfum oriental qu’elle a mis tout spécialement pour lui. Baissant un instant les yeux pour mieux savourer les baisers de son amant, elle aperçoit la virilité dressée de Gaius. Pendant un moment, elle en contemple le mât tendu vers elle, le gland gonflé qui semble l’appeler… elle tend la main, empoignant ce membre qui lui fait tant envie, le caressant de haut en bas avec ferveur. À peine ses doigts délicats sont-ils posés dessus que Gaius émet un soupir rauque, et il renforce la ...
... pression de ses mains sur les seins de sa belle. Lui aussi descend son centre d’intérêt, passant aux hanches étroites de Flavia qu’il empoigne fermement. Il s’allonge de tout son long sur le banc de marbre, son sexe toujours dressé vers le ciel, et amène sa compagne à lui. Se laissant faire, Flavia passe sa jambe par-dessus le banc pour chevaucher son amant ; elle attrape la hampe raide et la guide juste devant son sexe humide, s’y empalant sans la moindre difficulté en poussant un long gémissement de bonheur auquel Gaius répond par un râle sourd. En véritable amazone, Flavia entame un lent va-et-vient au-dessus de son étalon, son bassin remuant en cadence alors qu’il lui malaxe les hanches. De délicieux fourmillements commencent à s’épanouir en elle, partant de son périnée pour remonter vers ses reins et parcourir toute sa colonne vertébrale ; ces sensations lui font peu à peu perdre son contrôle, et elle se met à gémir à nouveau à chacun de ses coups de bassins. Ses cris se mêlent à ceux de Gaius, qui lui aussi devient fou sous les allées et venues de sa cavalière ; déjà il répond à ses mouvements par ses propres coups de reins, et cherche à s’enfoncer toujours plus en elle. Flavia accueille avec joie ce membre qui vient buter contre sa matrice, et abandonne pour de bon le rythme à son partenaire qui, affermissant la pression sur ses hanches, se met à la pilonner de plus en plus fort et de plus en plus vite. Chaque soubresaut arrache un petit cri à Flavia chez qui les ...