Qui bene amat... bene castigat !
Datte: 04/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
couple,
extracon,
grossexe,
jardin,
soubrette,
vengeance,
fsodo,
... cuisine, Gaius cesse de titiller son esclave avec sa queue et, la guidant de sa main, il l’enfonce jusqu’à la garde dans le sexe humide et béant qu’elle lui offre. La jeune cuisinière a un ridicule petit cri de surprise alors qu’il la pénètre, et continue à piailler à chacun des coups de reins qu’il lui assène. Gaius lui-même a le visage crispé par la concentration et le plaisir, allant et venant dans sa jeune servante, sans se douter qu’à quelques mètres, sa fiancée l’observe attentivement. Flavia regrette de plus en plus son choix vestimentaire ; elle est toujours ivre de colère et de haine, mais, suivant les mouvements de bassin de son amant, elle se rend compte qu’elle est aussi excitée au plus haut point de le voir faire son sort à cette rouquine sortie d’un marché aux esclaves. Alors que cette dernière pousse un long cri rauque et hurle quelques mots incompréhensibles dans sa langue natale, Gaius sort de son vagin pour remonter le bout de son gland entre les fesses de sa partenaire. — Ahhh… on s’est bien régalés tous les deux, pas vrai ma chérie ? Chérie ? Si Flavia n’était pas si mouillée et impatiente de voir les choses menées à leur terme, elle la lui couperait, sa sale queue ! Sa queue… sa queue, fièrement dressée comme un glaive de chair, toute luisante, couverte des sécrétions de la gauloise… rien que cette vision atténue sa rage et attise le brasier qui brûle entre ses reins. — Mais maintenant, poursuit le fougueux étalon, j’ai envie de quelque chose d’autre…— ...
... Quoi donc, maître ? Oh, demandez-moi ce que vous voulez, je vous le donne, mais pitié, ne vous arrêtez pas…— Je veux prendre tes fesses, assène Gaius. Ses fesses ? Jamais il n’avait pris les fesses de Flavia… certes, il en avait souvent exprimé le désir, mais jamais elle ne l’avait laissé faire, plus par peur que par répulsion. Était-ce pour ça qu’il était allé papillonner près de la fleur de cette petite esclave ? — Alors, tu es d’accord ? demande-t-il.— Oui… allez-y, maître ! Écartant l’anneau de chair de ses doigts, ses doigts si agiles, qui ne devaient jamais se poser sur une autre, il place son bout turgescent juste devant et se met à pousser doucement. La servante grimace, c’est visiblement la première fois qu’elle sent une queue essayer de forcer son anus. — N’aie pas peur, ma mignonne, la rassure Gaius. La douleur va vite passer… et puis, tu as eu raison de me faire confiance, jusque-là, pas vrai ?— Oui, maître, oui… oui… OUI ! Ça y est, l’étroit passage a cédé, et la jeune gauloise a pu savourer la pénétration de la longue verge au plus profond de ses entrailles. Restant un instant immobiles, les deux amants attendent que passe la brûlure de l’entrée, puis, tout doucement, c’est elle qui se met à coulisser le long de la grande lance qui est plantée dans son fondement. Confortablement appuyé sur le dossier d’une chaise derrière lui, Gaius la laisse faire, un sourire ravi sur les lèvres. La petite esclave continue à masser le membre avec ses fesses, descendant jusqu’à ce ...