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Tourisme à Notre-Dame
Datte: 04/09/2019, Catégories: fh, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio,
... porte du Mc Gloonald est cassée, et malgré les instructions laissées par le personnel à l’usage des plus simples d’esprit, personne ne semble vouloir la refermer. Mon amour me dit sur un ton enfantin : « J’ai froid. » Tel un chevalier servant je ne tarde pas à me lever pour aller fermer la porte fautive. Lorsque je reviens m’asseoir, Louise me regarde avec un air interrogateur. Aussitôt je lui demande en regardant autour de moi « Ben qu’est-ce qu’y a ? » Aucune réponse… Après quelques longues secondes, une petite ampoule vient s’allumer au-dessus de ma tête. Louise ne m’a pas demandé d’aller fermer la porte. Pour ne pas avoir l’air du dernier des benêts je prends un air dégagé comme si jamais je ne m’étais levé et je m’approche d’elle posant une main sur sa hanche et laissant l’autre s’égarer innocemment sur son genou. Tout travail méritant salaire, elle colle sa bouche contre la mienne et m’embrasse doucement pour me récompenser dignement. Acceptant mon dû comme il se doit, je laisse par moments ma langue caresser celle de Louise. La main posée sur son genou commence à remonter lentement sur sa cuisse. Celle précédemment posée sur sa hanche ne reste pas inactive non plus et commence à mon insu à remonter sous le pull de la belle. Elle s’arrête quelques instants sur son ventre. Décidé à ne pas contrarier les projets de cette main particulièrement dégourdie je la remonte jusqu’à la poitrine de Louise. Cela me donne l’occasion de reconnaître grâce à la texture du soutien-gorge ...
... la parure que porte ma jolie brunette. Elle a pensé à mettre l’ensemble que je préfère. Emu par cette tendre découverte je caresse son sein à travers le soutien-gorge avec plus d’insistance. L’autre main probablement jalouse continue ses caresses en passant entre les jambes de ma douce amoureuse. Elle remonte de plus en plus, cherchant sans doute à se rapprocher de la chaleur. Louise m’encourage en faisant de même sur ma jambe et en laissant sa langue prendre ses aises dans ma bouche. La main vagabonde dépasse la lisière du bas et arrive sur la peau de Louise, d’une douceur improbable. Cette sensation aussi agréable qu’elle puisse être, me fait réaliser que j’ai mis Louise dans une situation pour le moins indécente dans ce lieu très public, sa jupe étant remontée si haut que chacun peut admirer la bordure de ses bas et les attaches de son porte-jarretelles. Brutal retour sur terre… Je remets avec application la jupe de ma moitié en place. Mon application quasi scolaire dans le réajustement de la pièce de tissu et la gêne qui se lit sur mon visage provoque un rire presque attendri chez Louise qui me serre contre elle pour me montrer que ma faute était pardonnée. Tout de même inquiet, je jette un coup d’œil alentour pour m’assurer que nous n’avons pas troublé le repas à l’américaine d’une paisible famille française. Je suis rassuré en ne voyant face à nous que deux jeunes filles qui semblent occupées à discuter de sujets dont discutent les jeunes filles, ou du moins, feignent ...