1. Tourisme à Notre-Dame


    Datte: 04/09/2019, Catégories: fh, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio,

    ... elle défait le bouton de mon pantalon sans se presser d’avantage. C’est une véritable torture et pourtant j’adore ça. Ma braguette est enfin descendue. Je ferme les yeux pour apprécier ce moment dans toute son intensité. Enfin elle fait descendre légèrement le caleçon libérant mon sexe dont l’horizontalité lui laisse entendre à quel point je la désire. D’une main, elle le saisit à sa base pour mieux en faire ce qu’elle veut. Sa langue joue habilement avec mes bourses puis remonte le long de mon pénis en empruntant le chemin tracé par la grosse veine bleue. Je suis littéralement en ébullition lorsque sa langue salue mon prépuce de quelques petits coups taquins. « Coucou… Non perdu je suis à gauche… Et non je n’y suis plus ». Sa langue est partout et nulle part à la fois, une telle agilité est simplement stupéfiante, et soudain, sans même me laisser une chance de comprendre son petit jeu, elle me prend dans sa bouche aussi loin qu’elle le peut. Quelle sensation… Je tends la main vers son visage pour la remercier de tant de plaisir. C’est bien trop bon. Il me vient l’idée de regarder comment tout cela est possible, de découvrir cette technologie qu’on me cache et qui met dans un tel état. Elle est belle et excitante, toute dépoitraillée qu’elle est, avec sa jupe qui ne cache plus rien de ses jambes. Sa bouche s’active avec une lenteur calculée sur mon sexe pour m’apporter un maximum de plaisir. Sa position accroupie semble très inconfortable et cela me plaît. Je n’ai pas envie ...
    ... de l’aider, au contraire, je me saisis de ses mains et les ramène vers ma poitrine. Je devine plus que je ne vois mon sexe qui entre et sort de sa bouche, ses cheveux constituant un rideau tout symbolique. Je n’écarte pas ce rideau, le mystère fait partie du plaisir, on ne demande pas à David Copperfield comment il fait disparaître la tour Eiffel, on apprécie, c’est tout. La caresse est bien trop douce, je sens le plaisir monter en moi, je suis sur le point de rendre les armes. Mais je ne le veux pas. Par égoïsme d’abord, je ne suis pas prêt à renoncer à faire durer un tel moment d’extase. Pour remercier Louise comme il se doit pour tout ce plaisir, ensuite. Je la saisis par les épaules pour l’inviter à remonter à ma hauteur. Je l’embrasse et caresse son sexe de ma main, faisant passer mon doigt le long de ses grandes lèvres, pour la prévenir de mes intentions. Pas d’objection… J’approche donc ma bouche du creux de son oreille pour lui dire : « Je veux venir en toi ». Elle ne répond pas. Qu’importe, qui ne dit mot consent. Sans aucun ménagement, je lui fais faire volte-face. Elle appuie ses deux mains contre le mur et attend, résignée, c’est à moi de faire d’elle ce que je veux. Ce que je veux est d’une rare limpidité, il ne reste plus qu’à passer de la théorie à la pratique. Je veux jouer avec elle comme elle a joué avec moi… Mais plus longtemps, ego masculin oblige. Mes mains saisissent ses hanches, les tirent vers moi, puis descendent, lentement, jusque sur ses jambes pour ...
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