1. L'amour d'un père (1)


    Datte: 04/09/2019, Catégories: Hétéro

    ... qu’elle atteint sa chatte. Je suis ébahi par l’humidité de sa culotte. J’ai maintenant la confirmation qu’elle en a autant envie que moi, et cela renforce ma détermination. Je joue un instant avec son petit minou, avant d’y enfoncer deux doigts. Je la fouille gentiment avant de retourner l’embrasser. — Ca va, ma chérie. Tu es bien ? — Oui, papa, c’est bon. Continue s’il te plait. Je la sens écarter les cuisses. Elle s’offre à moi. Cela me rend encore plus amoureux. Ma petite fille qui s’offre à son papa. J’ai envie de la prendre tout de suite, mais je me retiens. Nous avons tout notre temps. Je lui donne un dernier baiser, puis m’éloigne pour me positionner à genou devant elle. Je lui enlève le bas une bonne fois pour toute et admire sa fente de mes propres yeux. Elle est magnifique. Ça donne envie de s’y enfoncer. Je m’en approche et commence à la lui lécher. Elle gémit. Je la broute comme si ma vie en dépendait. Je joue avec ses lèvres et son clitoris. Je l’entends respirer bruyamment. Elle pose ses mains contre ma tête pour me guider et me tire par les cheveux. Son corps ondule sur mes coups de langue. — Oh... papa... Je t’aime ! Elle mouille abondamment, et je la bois avec délectation. Elle a le gout de l’amour. Le vrai, le pur. Je sens qu’elle n’est plus très loin de jouir, quand elle m’arrête soudain : — Papa, attends ! — Qu’est ce qui ne va pas ? dis-je d’un air inquiet. Ai-je fais quelque chose de mal ? — Je... je veux que tu me fasses l’amour... me dit-elle. — Moi ...
    ... aussi, lui souris-je. Nous y sommes. J’ai atrocement faim de sa chatte. De la chatte de mon bébé. Je prends mon sexe en main et le présente devant sa fente. Je lui caresse les lèvres gonflées un moment, avant de la pénétrer lentement. Je suis doux et tendre. Mon gland disparait d’abord en elle, puis je fais entrer peu à peu ma tige. Je me fige à la moindre résistance, à l’écoute de son corps. Je n’entre pas entièrement ; pas maintenant, tout du moins. Lorsque je la sens prête, je commence un léger va-et-vient. La sensation est tout bonnement fantastique. Cela fait si longtemps que je n’ai pas profité de la douceur d’un vagin, et ce n’est pas n’importe lequel, c’est celui de Nancy, ma propre fille. Rien que le fait d’y penser m’excite. awnaooiz Elle passe ses mains dans mon dos pour me coller plus prêt d’elle. Nos regards plein de passion se croisent. Je craque, et je l’embrasse. — Nancy... — Papa... — Je t’aime, ma chérie, si fort... — Moi aussi, papa. S’il te plait, fais-moi l’amour ! J’accélère le rythme et m’enfonce plus profondément dans son con si accueillant. Elle me sert plus fort contre elle en guise d’approbation. J’ai envie de pleurer de bonheur, je baise ma propre fille. Elle est si belle, si douce, si parfaite. Je regrette de ne pas avoir son âge et de ne pouvoir être son homme à part entière. — Tu es si belle, ma chérie. Papa est si fier de toi. Je voudrais te faire sentir combien je t’aime. — Alors fais-le moi sentir, s’il te plait. J’ai tant besoin de ton amour, ...
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