L'amour d'un père (1)
Datte: 04/09/2019,
Catégories:
Hétéro
... papa. — Oh, mon bébé ! Je deviens plus fougueux. Je fantasme tellement sur son corps que je veux en profiter. Je la caresse et l’embrasse partout. Je suis maintenant en elle jusqu’au raz des couilles, mais je lui donne des coups de bassins comme si je voulais aller plus loin encore. Sa chatte est si serrée, j’ai l’impression d’être dans un délicieux fourreau onctueux. J’ai peur de lui faire mal, mais c’est elle qui insiste : — Plus fort, papa ! Prends-moi plus fort ! — Nancy... ma petite princesse... — Je t’aime, papa. Je t’aime si fort. Je rêve de cet instant depuis si longtemps, si tu savais. — Moi aussi. — Non, tu ne comprends pas. C’est à toi que je pensais le jour où tu m’as surprise en train de me masturber ; et ce n’était pas la première fois que ça arrivait. — Ma pauvre chérie. — Je sais que ce n’est pas bien, mais je t’aime trop. Depuis, je voulais tout faire pour que ce fantasme devienne réalité. Je suis désolée. — Ce n’est rien, ma puce. Je suis heureux de te faire l’amour. — Moi aussi je suis si heureuse. Je veux que tu sois à moi, rien qu’à moi. — Je suis toute à toi, mon bébé. Je t’aime. — Fais-le moi sentir ! S’il te plait ! Jouis en moi ! — Tu es sûre ?! dis-je, troublé. — Oui ! Je veux te sentir éjaculer en moi ! Je veux être remplie du sperme de mon papa d’amour ! — D’accord, mon ange. Papa va jouir pour toi. Je l’embrasse et la prends plus violement. Je lui pilonne la chatte pour me faire venir. J’en ai tellement envie. Son corps tremble sous mes coups. ...
... Elle m’embrasse le cou en me maintenant contre elle. Ses jambes s’enroulent autour de mon bassin. Elle est comme une femelle en chaleur qui a besoin que je la féconde de ma semence. Je trouve ça magnifique. — Ne te retient pas, papa. Viens en moi ! Je ressens de plus en plus le besoin de jouir dans cette jeune chatte qui est celle de ma fille. J’ai désespérément besoin de la bourrer et de lui faire ressentir tout mon amour. Il y a des moments comme ça, où les mots, les câlins, et les caresses ne suffisent plus à exprimer ce qu’on ressent, il n’y a plus que les coups de bites qui y parviennent. C’est comme si c’était une manière animal de dire je t’aime, et je l’aimais à en mourir. — Fais-moi tienne, papa ! Possède-moi ! — Ça vient, mon ange, je vais venir ! — Oui ! Vas-y ! Souille-moi ! Souille ta fille ! — Nancyyyyy ! Trop, c’est trop. Je grogne en sentant mes couilles éclater. J’explose dans son vagin en l’éclaboussant de foutre. Au même moment, je sens son corps secouée par un orgasme. Ce phénomène m’émeut. C’est la première fois que je fais jouir ma fille, et nous jouissons ensemble. C’est un instant magique qui n’appartient rien qu’à nous. — Papa ! Je te sens ! Ouiiiiiiiiii ! — Aaaah ! Mon bébé ! — Donne-moi tout, papa ! Donne tout ton amour ! Je suis si heureuse ! Je me vide en elle sans aucun scrupule. Je rêvais tellement de ce moment. C’est divin. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas senti la chaleur d’une femme, sentit tout son amour pour moi, sa dévotion. Je ne ...