1. Louise


    Datte: 06/09/2019, Catégories: fh, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... quelques minutes auparavant dans la rue. Arrivée à la table, Louise prend appui sur son rebord et tire jusqu’à elle la chaise de bureau. Sa croupe recule un peu sur le sous-main et, les yeux vissés au regard du garçon, elle lève posément sa jambe gauche jusqu’à poser son pied nu sur le dossier de la chaise. Le tissu de la robe masque encore l’intérieur de ses cuisses ; mais, par un mouvement des genoux, elle le tend afin de révéler lentement la blancheur de son aine. Le menton de Louise a imperceptiblement tressailli. Ses yeux ont désormais la profondeur trouble du désir ; les mouvements de ses mains se font ondulations, comme gagnés par la grâce de l’excitation. Sa paume repose au sommet du genou gauche, tandis que le garçon s’enfonce plus encore dans la contemplation de ce corps écorché d’impatience. Louise laisse à présent descendre l’extrémité de ses doigts le long de sa cuisse ; ils dessinent de larges arabesques sur la peau de sa jambe. L’autre main prend appui sur la table ; la nuque de Louise se cambre alors que ses doigts parcourent le tissu qui voile encore son sexe. Je ne sais s’il s’agit d’une culotte finement échancrée ou d’un string mais, à voir deux doigts s’appliquer sur son sexe, je puis deviner le sillon de ses lèvres gonflées de désir. Elle s’évertue à ne caresser que légèrement le voile de sa lingerie, insistant cependant sur les coutures contiguës. L’expression de son visage s’est enhardie… Sa bouche entrouverte souligne le souffle qui agite sa ...
    ... poitrine, mais rien ne vient dissiper l’attention qu’elle porte au garçon. Le temps que je remarque cela, Louise a glissé un premier doigt sous la bordure du tissu ; un frisson parcourt ses jambes… Une phalange qui s’agite tend la surface de coton. Je sais qu’elle longe sa fente ; je sais qu’elle ne s’attarde ni sur son clitoris ni sur les abords de son vagin : l’idée de jouir trop hâtivement force ses gestes à mesurer leur allant. Ce corps de vingt ans joue de lui-même… Soudain, elle suspend son mouvement, retire vivement ses doigts, et ôte son pied du dossier de la chaise. Louise attend, la robe retombée à mi-cuisses, les mains jointes sur son ventre. Le garçon se lève, avance en direction de Louise. Elle semble parler. Il se saisit de ses poignets et lui écarte les bras. L’espace qui sépare les deux visages diminue jusqu’à ce que les langues s’effleurent ; leurs lèvres ne s’unissent pas encore. Louise a baissé ses paupières ; tout, dans l’abandon de son corps, trahit la totale servilité qui la lie désormais à ce garçon. Leurs lèvres scintillent d’un filet diaphane de salive, l’un étanchant son désir à la bouche de l’autre. D’un coup, il se recule en prononçant quelques mots ; dans la seconde qui suit, Louise relève sa robe le long de ses cuisses et descend doucement le sous-vêtement qui se roule sur lui-même. Elle ne retire pas ce qui s’avère être un tanga. Le garçon se penche et parle ; Louise se retourne, et pose ses mains sur la table. Il s’accroupit, empoigne les chevilles de ...