1. Karl


    Datte: 05/09/2017, Catégories: fh, ff, fhhh, hplusag, jeunes, inconnu, freresoeur, campagne, parking, boitenuit, voiture, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, ecriv_f,

    ... Karl… Tout le plaisir est pour moi. Et nous entrons dans une vaste pièce qui tient lieu de pièce à vivre. C’est un peu champêtre, avec une grande table centrale en bois et deux grands bancs autour. Le fond de la pièce est occupé par une vaste cheminée en fonction, agrémentée d’une cuisinière bien plus moderne. Mais l’ensemble est de bon goût. C’est d’ailleurs le maître mot des lieux : partout l’ancien côtoie le moderne dans une harmonie certaine. Il m’invite à m’asseoir et file chercher un grand plat de crudités et de viandes froides. — Viandes froides pour ce midi et barbecue pour ce soir ! J’ai renvoyé tout le personnel non nécessaire en congés, pour éviter que votre venue ne déclenche une émeute parmi le personnel masculin en service.— Si cela en est là, c’est que cette maison manque de femmes ! Je regrette instantanément cette réponse et il lit une certaine gêne dans mon regard. — Je suis divorcé depuis trois ans et mon seul fils est chez sa mère. En un sens, vous avez certainement raison… Là, je me sens vraiment conne. — N’en parlons plus ! Prenez des forces, car vous allez en avoir besoin.— Alors, mangeons !— Savez-vous monter à cheval ?— Oui.— Eh bien bénissez celui qui vous a appris : cela épargnera vos jambes ! Nous déjeunons rapidement et nous nous rapprochons de l’écurie. L’établissement, plutôt ancien, est cependant parfaitement entretenu. J’hérite d’une belle jument noire, que Karl selle avec doigté et professionnalisme. Ainsi partons-nous dans les plus éloignés ...
    ... pâturages. Karl me parle avec passion de ses bêtes, chevaux, cochons, vaches, taureaux. Même si je suis loin d’être une passionnée de tout cela, je dois reconnaître que son charisme et son enthousiasme m’aident à accrocher à la présentation et je ne vois pas passer nos trois heures de balades. Quelque peu fatiguée par toute cette campagne revigorante, je pousse un petit soupir. — Bien, je crois que vous avez mérité un peu de repos du guerrier !— Surtout ne croyez pas que…— Ne vous en faites pas ! Si vous n’aviez pas eu envie de faire ce grand tour, je l’aurais vu en trois minutes et aurais abrégé votre supplice. Vous avez été très attentive et respectueuse de ma passion et de mon travail. À nouveau un de ces sourires en coin, si dévastateurs dans mon cœur. Je pose le pied à terre, sur son invitation, aux abords d’une grange à quelques centaines de mètres du ranch. Il attache les chevaux et m’invite à entrer dans le bâtiment. Le lieu a l’air curieusement frais et apaisant. — C’est mon lieu préféré, pour ses vieilles pierres tempérées et son calme. J’y viens souvent me reposer. Nous nous asseyons et Karl ouvre une minuscule glacière qu’il a emportée avec lui. Il en sort une bouteille d’eau, deux verres et quelques biscuits. J’accepte l’eau comme une bénédiction et il vient s’asseoir près de moi. Au moment de tremper mes lèvres dans le précieux liquide, je croise son regard si doux et presque interrogateur. Il y a dans ses yeux, pour la première fois, une certaine fragilité et ...
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