Karl
Datte: 05/09/2017,
Catégories:
fh,
ff,
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jeunes,
inconnu,
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campagne,
parking,
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amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
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Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
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... vu Karl que quelques minutes. Le retour et la soirée du dimanche sont assez lourds et je décide de me coucher seule et de bonne heure. Non sans prendre le temps de m’occuper un peu de moi, mais toute seule dans mon grand lit. C’est le rugueux visage de Karl qui accompagne, en pensée, mes premiers gémissements de plaisirs solitaires. La semaine de cours reprend et je résiste deux jours interminables avant d’appeler Karl sur son portable. Je note tout de suite, avec un réel plaisir, sa joie de m’entendre et de me voir le rappeler comme promis. Nous fixons ma venue au ranch pour le samedi suivant et il m’invite pour le déjeuner du midi. — Surtout, habillez-vous cool, car il va falloir marcher. Le ranch est grand. Je vous propose de repartir le lendemain matin. Je vous ferai préparer une chambre, je ne voudrais pas vous voir rentrer tard le soir.— Ok ! Ce sera avec grand plaisir, mais je ne suis pas une fermière professionnelle !— J’espère bien, car moi, si ! Je raccroche le téléphone, folle de joie : je vais pouvoir passer la journée avec lui. Je ne sais pas où tout cela me mènera, mais j’espère au moins obtenir de lui un sourire. Après tout, je réalise que je ne sais rien de lui… Sur ce point, Rachel a raison. Il est peut-être marié, coureur de jupons, buveur invétéré. Mais mon instinct me dit de me fier à lui. Je ne crois pas me tromper en pensant que c’est un type bien sous tous rapports et que cette journée sera des plus agréables. Le jour fatidique arrive enfin et Rachel me ...
... regarde préparer un petit bagage avec un certain agacement. — Il t’invite pour le déjeuner… Tu ne vas pas emménager chez lui, si ?— Tu deviens lourde, Rachel ! Je saute dans la voiture, non sans avoir revêtu une grande salopette en jean et un tee-shirt par-dessous. Bref : prête à barouder dans les pâturages ! Il me faut une bonne heure pour gagner la vieille route. Encore quelques contrats avec Madame Saint-Jean et je pourrai changer ma vieille voiture. Je préfère chasser cette idée de mon esprit. Non pas qu’elle me gêne, mais elle n’est tout simplement pas de circonstance. Je me trompe encore une ou deux fois de route, puis arrive à proximité d’une immense bâtisse. Je relis plusieurs fois les indications que Karl m’a données au téléphone… pas de doute : je suis au bon endroit. Je suis assez surprise par la taille de l’exploitation et des bâtiments alentour. Tout cela a l’air gigantesque et tranche assez avec la simplicité du personnage. Avoir à son nom une telle entreprise doit sans doute conférer des revenus réguliers, ce qui n’est pas très visible sur lui. Mais stop ! Là, je réfléchis comme une rabatteuse… Penser comme cela me fait un petit pincement au cœur. Je passe la lourde porte qui barre l’entrée du domaine, après avoir parlé dans l’interphone. Quel plaisir ! Il est là, à m’attendre sur le perron de la demeure, avec son fidèle jean et sa chemise de cow-boy. — Bonjour, Ludivine… C’est un vrai plaisir de vous voir tenir votre promesse. Vous êtes ici chez vous.— Merci, ...