Mélanie, étudiante à Bordeaux (1)
Datte: 07/09/2019,
Catégories:
Trash,
... chemisiers. Dès le premier coup d’œil, Mélanie les jugea plus que coquins, entre osés et obscènes. Elle suivit néanmoins le mouvement, méfiante. La vendeuse sortait des articles en taille S et les montrait à Lenoir, sans s’occuper de la jeune fille qui rongeait son frein. Enfin elle lui tendit six robes et lui désigna une cabine d’essayage. Mélanie s’enferma et examina les robes : une blanche, deux noires, une rouge et une bleu électrique. Et toutes minimalistes, en tissu fin et extensible qui allait la mouler de manière éhontée. Elle se déshabilla rapidement et enfila la première, une minirobe qui couvrait à peine sa culotte, dos nu et largement échancrée entre ses petits seins. Timidement, elle sortit de la cabine ; et rougit en voyant deux clients hommes qui la détaillaient sans vergogne. Indifférents, Lenoir et la vendeuse critiquèrent : — La robe irait bien, mais sans soutien-gorge ni culotte ; ou alors un string. — Tu entends ? commanda Lenoir, retire tes dessous, et vite ! — Tu veux un string blanc, peut-être ? proposa la vendeuse. — Euh… oui, merci, balbutia Mélanie, écarlate. Elle s’enferma à nouveau dans la cabine, enleva ses sous-vêtements et attendit le string. Très vite, la vendeuse lui tendit un minuscule triangle de tissu vaporeux en dentelle et gaze blanche. Dubitative, Mélanie contempla le string en faisant la moue, haussa les épaules et le passa ; il couvrait à peine son pubis, la ficelle tendue se noyant dans les replis de sa vulve. La toison fine mais non ...
... entretenue de la petite blonde débordait largement. Quand elle sortit, cinq clients mâles attendaient, les yeux brillants. Lenoir la fit tourner devant lui et parut satisfait. Il lui fit signe de passer une autre robe, mais elle l’entendit, alors qu’elle se changeait, critiquer sa toison apparente en des termes dédaigneux. — Elle ne prend pas soin d’elle, tu as vu ? Sa chatte est négligée. Au total, il choisit trois robes : la blanche, une noire encore plus osée, et la rouge dans laquelle elle crut que les clients allaient la violer tellement ils la dévoraient des yeux. — Tu n’as pas une tenue de serveuse ou de soubrette bien sexy ? Quand j’organiserai une soirée, elle pourra faire le service pour le plus grand plaisir de mes amis. — Bien sûr ! Le mieux est de la composer : jupe noire, chemisier blanc, talons hauts et coiffe noire. Éventuellement des bas résille, blancs ou noirs, au choix. Elle rassembla rapidement une tenue, et Mélanie rougit en passant la jupe particulièrement courte et fendue des deux côtés. Le chemisier, de prime abord lui parut normal, mais il était si transparent que ses aréoles roses se voyaient nettement au travers. Les escarpins lui allaient bien, mais elle tangua en sortant car elle était peu habituée aux talons hauts, a fortiori à ceux-là qui cambraient son pied à la limite de l’inconfort. — Je voudrais aussi des plugs anaux ; cette jeune fille me paraît encore bien novice et il faut la préparer. — C’est vrai que tu es sacrément bien monté, Arnaud. ...