Berlin
Datte: 08/09/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
Chapitre 4 : Immersion totale.- Vous parlez français en Suisse ?- Oui, comme vous pouvez le constater.Elle parle un peu français, mais très mal. Aussi, je me propose de le lui apprendre. Cependant, coquine, j’insiste pour le lui apprendre en utilisant ses méthodes de dresseuse. Elle me sourit, me fait longuement l’amour en acceptant. Nous avons épuisé toutes nos forces en des orgasmes saphiques aussi voluptueux que délectables. Après, je ne me souviens que de cette odeur de café allemand, infecte à boire. Dans son salon, nous avons longuement bavardé, en buvant cet infâme jus de chaussette. Assise près d’elle, je pris ma leçon de code, d’us et coutumes de son monde, devenu pratiquement mon monde en moins de temps qu’il avait fallu pour le dire. On baise encore, elle me soumit à ses désirs vicieux et je me plie sans honte à ses caprices les plus pervers. Je deviens rapidement une fervente adepte de ma soumission, allant jusqu’à lui amené un martinet dans ma bouche ainsi que le panier de pinces. Envoutée par cette femme et Béa, sa compagne, je suis bien obligée de reconnaitre que j’étais amoureuse, et profondément amoureuse de ce couples démoniaque. Le retour de Béa en tout fin de journée ne est qu’une simple et merveilleuse confirmation quand elle me saute dessus pour me faire l’amour devant sa Maîtresse, devenue aussi ma Maîtresse. Désormais, il me sera impossible de revenir en arrière, toutes les deux me tiennent par leurs sentiments amoureux, leur cœur. Elles m’enivrent de ...
... leur amour, de leurs vices.Berlin prend alors un nouveau sens dans ma tête, mon corps et surtout dans mon cœur. Mademoiselle reçoit ses clients, ces payants comme elle dit avec un dédain certain. Hommes et femmes se succèdent dans son donjon, tous sont à la recherche de sensations aussi jouissives que violentes. Dans ces moments, je deviens l’assistante de Mademoiselle, je participe parfois, me faisant remplir par de ses soumis. C'est toujours un homme qui me baise en guise de récompense et je prends mon pied de ne plus être qu’un objet à l’entière et totale disposition de Mademoiselle Janice. Quand Béa est présente avec nous, ses jours de congé, nous sommes les chiennes de Mademoiselle, nous agaçons les sens des hommes soumis par nos danses lascives, amoureuses, nos coups de langue pervers. Ayant interdiction d’avoir la moindre érection, on prend plaisir à les voir bander dur comme fer avant d'en subir les conséquences. Avec les femmes, c’est encore plus vicieux et pervers. Et là encore, elles en paient un prix cruellement élevé pour avoir eu du plaisir.C’est le jour du casting, avec Mademoiselle, nous arrivons les dernières dans cette usine désaffectée et en ruine. Une dizaine de femme sont présentes, tous âges, tous physiques sont devant moi. Ma Maîtresse est accueillie comme une princesse par Maître Heinz. Moi, je me contente de me mettre à genou, au pied de ma Maîtresse. Si je ne participe pas en tant que futur actrice, un ordre de ma Maîtresse insiste tout de même pour ...