Berlin
Datte: 08/09/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
... que Maître Heinz me fasse passer le casting. En le voyant faire, je découvre un casting bon enfant, décontracté, rien à voir avec les films. Mademoiselle refuse encore que je participe pour le moment à un quelconque film de Maître Heinz. Une fois sous la coupe de Monsieur Heinz, je lui abandonne mon corps. Mademoiselle suit tout, elle ne perd pas une miette de mes supplices. J’avoue que j’apprécie quand d’autres femmes viennent, me touchent pendant que Monsieur Heinz me fesse durement. Même la cire brulante sur mon corps ne me fait pas reculer. Je veux prouver à Mademoiselle que je suis sa soumise, que je suis prête à tout pour la servir fidèlement et avec amour.Le lendemain, en robe moulante, corset et talon aiguille XXXL, je me rends à mon appartement. En flânant dans ces rues émoustillantes, je passe devant une boutique et dans la vitrine, une photo, la photo d’une belle poitrine ornée de ses petits anneaux et de la petite chainette qui les unit. Je décide de me renseigner. Derrière un petit comptoir, une femme, les seins reliés par une chainette et une autre, venant avec son nez annelé, qui la rejoint. Je suis fascinée par cette vision surréaliste et sublime. Un homme sort de derrière un rideau, me demande ce que je désire. Je me mets à lui poser mes questions. Il ordonne à la femme de retirer sa courte jupette. Devant ce sexe annelé, je ne peux empêcher ma main de caresser ce sexe glabre en titillant les anneaux. Nous devons avoir pratiquement le même âge et son sexe ...
... se pare d’une légère humidité. L’homme la retourne, me montre son cul tatoué au nom de son Maître, l’homme de la boutique. Je me pose mille et une questions, à savoir si cela plairait à Mademoiselle que je lui revienne annelée entièrement. Le prix n’est pas le problème. Le problème est de savoir si je peux supporter la douleur que me décrit cet homme avec une précision diabolique. Convaincue, je décide de sauter le pas. Si l’homme ne peut me prendre ce jour, nous fixons tout de même un rendez-vous.Puis, notant notre rendez-vous, il me demande qui m’envoie, là, le simple nom de Mademoiselle Janice accélère grandement les choses. Il biffe notre rendez-vous, frappe dans ses mains, deux autres femmes arrive, aussi nues que celle derrière son comptoir. On me sourit, des sourires de connivences. On me guide, me déshabille, me caresse, me lèche même mon cul. Devant les quelques poils qui repoussent, on me rase de près jusqu’autour de mon anus. On m’installe et ça commence et par ma cloison nasale. Je sais pertinemment que je vais souffrir et je l’accepte parce que c’est par amour pour Béa et Mademoiselle Janice que je le fais avant tout. Il est tout juste dix heures du matin, mon nez porte mon premier anneau et j’ai à peine souffert. Les deux assistantes désinfectent les emplacements au fur et à mesure que l’homme me transperce de ses aiguilles. Je souffre et pas qu’un peu, surtout mes seins encore terriblement sensible après la petite séance de martinet de la veille. Sur mon sexe, ...