1. Berlin


    Datte: 08/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne

    ... droguée du sexe. Agnès me cède un baiser, un vrai, se laissant caresser. Je me permets même un baiser sur sa chatte, à travers sa culotte.- Aroa, je peux te dire quelque chose en privé ?- Tout ce que tu veux et tu le sais.Elle m’entraine au sous-sol, nous passons la porte de la réserve. À peine la porte fermée, elle me gifle durement. Je me mets à ses pieds, je les baise. Elle me relève, m’embrasse à pleine bouche.- Je t’aime depuis que tu es entrée dans notre boutique. C’est seulement maintenant que j’arrive à te le dire. La gifle, c’était juste pour te dire pourquoi n’avoir pas fait le premier pas avant.- Ma chérie, toi, Béa et Mademoiselle, vous me rendez folle d’amour. Je ne pouvais avant et ce n’est pas l’envie qui me manquait. Il fallait juste que je sache si tu étais prête. Oui, je te voulais prête à faire le pas dans notre direction. Je te sais soumise au fond de toi, Béa me l’a si souvent répéter. Elle n’a pas osé. Je voudrais tant te voir avec nous deux, te donner avec nous à Mademoiselle. Ne dis pas que tu ne l’aime pas, chaque fois qu’elle vient, tu fonds pour elle, tu files te branler juste après son départ. Maintenant, si tu veux me punir, mon corps est devant toi.- Je ne veux pas te faire mal. Je suis…je…- Moi aussi, ma douce, je le suis, amoureuse de toi.Que m’arrivait-t-il. Il faut que je la pervertisse elle aussi ? Je sais qu’elle nous aime, Mademoiselle, Béa et moi. Cela se voit sur son visage quand nous sommes là, devant elle. Et puis, avec Béa, elle ...
    ... fait tout pour ne pas lui montrer ce qu’elle ressent. Nous la savons avec un homme, je ne sais si elle est heureuse avec lui. Je n’ose le lui demander, attendant qu’elle me le dise. Elle retire la chainette de mon nez, m’embrasse, passant ses mains sur tout mon corps. Je la couche, l’aime, la fais jouir et, main dans la main, l’emmène devant Béa en lui donnant sa main. Je m’habille, je rentre.Dans mon appartement, je me sens soudainement seule, très seule, trop seule même. Je sais que Mademoiselle ne veut me voir, cela m’attriste. Le téléphone sonne, c’est Béa qui me dit avoir averti Mademoiselle pour mes anneaux. Elle ajoute qu’elle ne va plus tarder à débarquer chez moi. J’ai juste le temps de me mettre une nuisette de salope dévergondée. Derrière la porte, je m’agenouille, mes mains sur la tête, mes mains menottées comme mes chevilles. Elle arrive telle une tempête, me voit, m’ordonne de me relever. Je lui abandonne mon corps, elle me gifle, les larmes lui coulent sur ses jouent. Je les lui lèche, lui susurrant mon amour indéfectible. Elle me fouette de sa cravache, derrière, Béa et Agnès arrivent, main dans la main. Je me fais punir et à juste raison, je n’ai pas demandé son autorisation à Mademoiselle. Elle cesse, me redresse, inspecte mes anneaux. Mon corps brule de passion pour Mademoiselle. Agnès n’est plus effrayée, elle vient vers moi, s’agenouille devant moi, embrasse mon pubis, se tourne, embrasse les mains de Mademoiselle, l’implorant de ne plus me punir. Notre ...
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