Berlin
Datte: 08/09/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
... Maîtresse la relève, l’embrasse tendrement. C’est gagné, Agnès fond d’amour pour notre divine Maîtresse. Ce soir, elle ne rentre pas. Dans mon lit, nous l’aimons jusqu’à ne plus pouvoir.Deux jours plus tard, Agnès, avec armes et bagages, elle débarque chez moi sans crier gare. Elle se jette à mes pieds, me les baises.- Maîtresse, Mademoiselle exige que je sois votre esclave et je l’accepte très volontiers parce que je vous aime.- Relève-toi, ma douce. Et ton…- Il m’a mise dehors après que je lui ai avoué mon amour pour toi, Béa et notre déesse. Cependant, il y en a une que j’aime plus que les autres, toi. Faites mon éducation, je vous en conjure. Je vous serais fidèle, Maîtresse Aroa.Je ne sais comment m’y prendre. Soumise, je le suis, et bien plus que je ne le suppose. Mais quant à dresser et éduquer une soumise, je ne sais pas. Empruntée, perdue, je cherche comment. Et puis, je compris, tout m'est devenu limpide. À son cou, je lui achète le même collier et le lui impose sans aucun refus de sa part. À son doigt, je mis la bague, la même que Béa et moi. Je lui mis encore un fin collier de cuir, une laisse et lui impose mon ménage à demi-nue. Là encore, je prends un gout certain à la dominer amoureusement. Pendant qu’elle nettoie mon appartement, je me rends chez Béa. Le matin, c’est toujours calme.- Alors, comment vas ma douce amante.- En face de toi, merveilleusement bien ma douce. Y a juste un petit problème.- Lequel ?- Agnès, elle est arrivée y a deux heures avec ses ...
... valises, virée de chez son homme.- Le petit merdeux, l’enculé, le…- Calme-toi, ma chérie. Là, en ce moment, je ne vais pas arriver à nous faire vivre toutes les deux. Même avec son salaire, j’ai explosé mon budget avec mes anneaux. Tu peux mettre une annonce pour…- Faire comme Mademoiselle ?- Oui, exactement, le temps que je commence mon boulot.- Sans problème, je fais passer le mot. Je donne ton adresse et ton téléphone ?- Si tu veux, oui. Marque bien qu’on est deux enfin, sauf si tu veux te joindre à nous, ma belle amazone.- C’est à voir. L’idée n’est pas pour me déplaire.- Je baise ton petit cul, ma douce amante, je retourne m’occuper de l’éducation de notre nouvelle amie de cœur.- Ne sois pas trop vache.- Aucun souci.Béa me promet de passer après la fermeture. Dans mon appartement, je dois rire en découvrant Agnès sur le sommet de mon bar, se donnant du plaisir sur ce gros gode placé à son extrémité. Aussi, avant qu’elle n’ait le temps de se retirer, je menotte ses pieds à mon bar et me presse d’appeler Mademoiselle pour lui signifier l’arrivée d’Agnès. Pour faire voir à Mademoiselle, qui est en chemin, je me menotte mes mains aux pieds d’Agnès et me mets à genou, nue, à attendre l’arrivée de ma déesse de Maîtresse.À peine dans le salon, elle s’arrête net. C’est très lentement qu’elle retire sa cape, ses gants. Vicieuse, elle prit un martinet et flagelle délicieusement mes seins sans défense. Je me mords ma lèvre inférieure, signe que j’éprouve du plaisir. Elle ne me frappe ...