1. Section TG (12)


    Datte: 09/09/2019, Catégories: Transexuels

    ... profitai pour y mettre ma langue. Toujours tendue comme un arc, elle se laissa embrasser, passivement. Ma main caressait son sexe par-dessus son pantalon. Sa respiration devenait de plus en plus forte. Puis je sentis un peu d’humidité sur mes doigts. Je la couchai sur le canapé, mon autre main se glissa sous son pull. Je déboutonnai son pantalon et glissai ma main dans sa culotte que je devinai être en coton. Je rencontrai une forêt épaisse de poils et trouvai l’entrée de la fente. Je pétris ses seins moyens enfermés dans un soutien-gorge basique. Isabelle souffla puis gémit. — Tu vois que c’est bon. — Oui, murmura-t-elle. Oui, c’est bon, ne t’arrête pas. Sa chatte dégoulinait. Mes doigts s’introduisirent sans peine dans son vagin. Je me retirai pour lui enlever son pantalon et sa culotte de grand-mère. Je constatai que son épilation laissait à désirer. Je me mis entre ses cuisses et la léchai. A sa réaction, je compris qu’elle appréciait. Je la léchai un moment puis je remis mes doigts dans la fente. Son orgasme explosa d’un coup, animant son corps de soubresauts et de tremblements. Je continuai mes léchouilles plus doucement le temps qu’elle se calme. — Alors ? Ne me dis pas que tu n’as pas aimé ! — Si, si. C’était très bon. Merci. — On recommence ? — Une autre fois. Je n’insistai pas. Je lui fis la bise et quittai son appartement. Je commençai à mettre Isabelle dans ma poche. Ce n’était pas encore gagné, mais c’était en bonne voie. Je savais que François Marquant ...
    ... partait pour Bruxelles le mercredi qui arrivait. Il me restait à trouver comment et à quelle heure. Je pouvais demander à Isabelle mais elle trouverait cette insistance suspecte. Je décidai de me retourner vers mon service. Sophie Garan promis de faire le nécessaire. Quinze minutes plus tard, j’avais tous les détails de son voyage et une réservation dans le même wagon. 22- Je préparai soigneusement ma première filature. Je passai un collant épais sous mon jean, ne sachant pas si j’allais devoir rester longtemps dehors par des températures négatives. Je rangeai mes cheveux bruns sous une longue perruque blonde et posai des lentilles de contact de couleur bleue. Enfin des lunettes neutre à monture épaisse terminait de modifier mon apparence. Même si le député ne me connaissait pas, il ne fallait pas qu’il puisse faire le lien avec moi si je devais le croiser dans d’autres circonstances. Je montai dans le TVG en direction de Paris puis on changea de gare pour rejoindre le Thalys pour Bruxelles, lui en taxi, moi en métro. Le député voyageait avec une valise cabine, et plus surprenant, un sac de sport banal, signe d’une marque se vantant d’être à fond dans la forme. On arriva à Bruxelles une heure et demie plus tard. Et chose étrange, le député se dirigea vers les bornes automatiques. Je me collai à lui et je le vis prendre un aller-retour pour Anvers. J’en fis autant. Pour le moment, tout se passait bien. Nous arrivâmes à Anvers en début d’après-midi. François Marquant s’acheta un ...