1. Luc


    Datte: 09/09/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu,

    ... demain… enfin, tout à l’heure… va te reposer, demain tu vas avoir une dure journée.— Et comment tu veux qu’je dorme, après ça ?— Ben, t’auras qu’à faire comme moi…— ???— Puisque j’ai pas le droit de t’avoir toi, cette nuit, y m’reste plus qu’à me contenter de mes doigts… j’vais m’calmer avec eux, et ça s’ra très bien : j’pourrai me réconcilier avec moi, en même temps… mais, j’te jure que j’vais penser à toi ! Elle m’a regardé avec tout plein de promesses de luxure dans les yeux, et elle a ajouté, ses yeux ancrés dans les miens : — Et p’t-être que demain-soir… j’pourrai t’faire ta fête… et à ton arme aussi. Elle a passé sa main sur mon entrejambe, et m’a taquiné encore : — Woaw… tu d’vrais pas te balader avec une arme chargée comme ça… le coup pourrait partir tout seul ! … Quelques heures plus tard, en tout début d’après-midi, je tournais le dos à la porte, assis sur un tabouret et je discutais avec Geneviève, quand celle-ci a fait un mouvement du menton en désignant mon dos. Je me suis retourné et elle était là, devant moi. Je n’ai pas eu le temps de me rendre compte de grand chose, mis à part qu’elle avait fait de ses cheveux blonds, mi-longs, une queue de cheval, qu’elle souriait, et que ses yeux étaient un peu cernés, avant qu’elle ne s’exclame : — Bonjour, c’est pour une perquisition ! Puis elle a jeté ses bras autour de mon cou et a posé une bise sonore sur mes lèvres, et murmurant, rien que pour moi : — Je t’aime… Et sans plus de façon, elle m’a lâché, est passée ...
    ... derrière le bar et a enlacé ma tante, à qui elle a fait une bise légère sur la joue, en lui disant : — Bonjour Geneviève… Raymond est dans sa cuisine ?— Ou… oui, lui a répondu ma tante, qui ouvrait de grands yeux. On a entendu la même bise et le même "bonjour", et : — Raymond, vous pourriez nous préparer un autre de vos succulents plats pour ce soir… J’aimerais beaucoup que vous vous joigniez à nous, de même que votre femme. C’est à moi de payer… chut… et j’aimerais aussi que personne ne discute, c’est un ordre… d’ailleurs, je ferai le service… même si quelqu’un y voit un inconvénient ! J’attendais une réplique de mon oncle, qui n’allait sûrement pas se laisser faire, mais, au lieu de ça, Jennifer est revenue et s’est arrêtée face à ma tante : — Dites que vous êtes d’accord, s’il vous plaît… sinon, j’pourrai jamais vous remercier.— D’accord, lui a-t-elle répondu, les yeux brillants.— Oh merci… Dites, je peux vous emprunter Luc pour la journée ? J’ai ouvert la bouche mais, avant que je dise quoi que ce soit, ma tante m’a dit : — Vas-y, je peux m’en occuper toute seule ! Très vite. Et tandis que Jennifer, transformée en ouragan, ressortait, elle a ajouté : — Celle-là, t’as pas intérêt à la laisser filer !— Ah oui, et si vous voyez Samuel, Geneviève, vous pouvez lui dire qu’il est invité aussi, a poursuivi l’ouragan. Bon, tu viens Luc ?— Dégage, a conclu ma tante, pour mettre fin à toute discussion. … La veille, pour aller au parc, il nous avait fallu une vingtaine de minutes en ...
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