1. Luc


    Datte: 09/09/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu,

    ... glissées sous sa jupe, ont pris possession de ses fesses et les ont malaxées en écrasant nos bas-ventres l’un contre l’autre. Tout de suite, elle a gémit et moi aussi. J’ai commencé à faire bouger ma langue en "oubliant" les effleurements et les "smacks". Elle a empoigné, d’une main, mon épaule gauche et de l’autre le col de ma chemise, et je l’ai sentie "fondre" dans mes bras mais répondre à mon baiser. Plus aucune notion de temps n’existait. Mais quand je suis parvenu à récupérer mon souffle, après avoir fait cesser le baiser, son visage était toujours extrêmement rougi et brûlant. Je lui ai affirmé, avec la plus extrême douceur dans la voix, mais beaucoup de conviction : — Quand je t’aurai montré comment j’ai l’intention de t’aimer… comment je ne cesserai jamais de t’aimer, c’est toi qui ne me laisseras plus jamais partir ! Il ne fallait surtout pas que je la lâche, parce que je ne sais pas si elle aurait tenu sur ses jambes. Ses yeux, à peine entrouverts à la fin de notre baiser, n’avaient pas changé. Elle a soufflé un long soupir quand j’ai glissé mon avant-bras droit sous ses genoux. Elle ne pesait pratiquement rien. J’ai ouvert la porte d’allée avec le pied et je l’ai portée jusqu’à son troisième étage, où je l’ai posée. Elle a ouvert le verrou. J’ai fait jouer la poignée et l’ai reprise dans mes bras. J’ai attendu qu’elle referme au verrou, mais elle m’a murmuré, alanguie : — Non… on ferme jamais quand quelqu’un est à la maison.— Vous devriez, c’est dangereux !— Mais ...
    ... non… chuis ceinture marron deuxième niveau de Judo.— Ouais… et moi, j’suis ceinture platine, douzième dan de Kamasoutra ! Elle a eu un petit rire et j’ai avalé la distance jusqu’à sa chambre, jusqu’à son lit. Puis je l’ai posée au sol, et me souvenant de la dernière fois que j’étais venu ici, j’ai demandé : — Ça va ?— Oui, m’a-t-elle répondu, d’une petite voix qui n’allait pas la quitter du reste de la nuit. Puis elle s’est allongée toute habillée, et m’a tendu les bras en me disant : — Viens. Et je suis allé à elle. Tout en me disant pour la seconde fois que, finalement, c’était plutôt génial, un matelas-sommier posé à même le sol, avec tout plein de coussins jetés n’importe comment, comme ça. Et puis, au moins, on ne risquait pas de se faire une bosse en tombant du lit en plein milieu de la nuit ! — Tu sais qu’on va se voir tout nu pour la première fois, mon amour, lui ai-je demandé.— Ah oui, tiens, a-t-elle constaté, un peu surprise. Elle a eu un petit rire. — On se déshabille l’un l’autre ?— Oh oui, bonne idée… et en même temps ! Elle s’est mise à genoux en face de moi, comme moi, et on a commencé de la même façon, tous les deux, par le bouton du haut de nos chemise et chemisier respectifs. Elle m’a donné une petite tape sur les doigts. — Mais, bas les pattes… tu vois pas qu’tu m’gênes ?— Oui ben, j’te signale que tu m’gênes aussi ! On a quand même continué à déboutonner nos vêtements, en se chamaillant et en riant. On a terminé en tirant simultanément sur les pans de nos ...