Luc
Datte: 09/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
... à crier, provoquant mon explosion et mes propres cris. Elle a continué et ses cris de jouissance se sont joints aux miens. De temps en temps, elle donnait un autre coup de son bassin, sur mon sexe pas encore tout à fait débandé, en poussant à chaque fois un nouveau cri. Je n’avais plus aucune force. Des étoiles dansaient encore derrière mes paupières closes et je sentais ses cuisses, maintenant immobiles, sur les miennes. Elle est restée un long moment comme ça, à reprendre son souffle. Souvent, elle est venue lécher mes lèvres, ou chercher ma langue. Quand j’ai senti mon sexe glisser hors du sien, elle a éloigné son visage du mien et j’ai ouvert les yeux. Des gouttes de sueur perlaient sur son front et j’aurais juré qu’elle avait pleuré. Il régnait dans l’habitacle, une chaleur d’étuve, et mon visage devait ressembler au sien. J’étais toujours tétanisé, à la place conducteur, et j’ai senti le poids de son corps glisser vers le côté passager. J’avais de nouveau fermé les yeux, mais quand sa main s’est emparée de mes bourses, je les ai rouverts pour voir la tête de mon amour descendre en direction de ce qu’elle tenait. J’ai bien essayé de l’arrêter, mais elle a grogné et a englouti tout le cylindre humide de nos sécrétions. Elle a enroulé sa langue autour, avant de le laisser glisser hors de sa bouche, en faisant un grand : "sslurp", puis son visage est remonté jusqu’au mien, et elle m’a fait un petit sourire la bouche fermée. Alors, j’ai léché ce qui avait coulé de sa ...
... commissure droite, dans le même mouvement, mes lèvres ont affronté les siennes, et on a partagé le fruit de nos amours un long moment, en une multitude de baisers, tendres et fougueux, tour à tour. — Huum, a-t-elle exhalé, en se pourléchant les babines, après avoir avalé ce que je lui avais laissé. Comme ça, tu pourras ranger ton arme sans tacher ton caleçon ! J’ai avalé aussi, en laissant son image s’imprimer quelque part dans mon cerveau, où je pourrais aller la récupérer quand j’en aurais besoin. — Mon chéri, tu pourrais me ramener vite fait à la maison… parce que ça c’était juste les hors-d’œuvre !— D’accord… c’est parti ! … Quand on est arrivés devant chez elle, la chance semblait avec moi : j’ai trouvé une place presque devant la porte de son immeuble. Elle est descendue sans un mot, et a attendu que je descende et que je verrouille ma porte en faisant une chose bizarre : elle faisait mine d’écraser quelque chose avec son pied droit, les genoux en dedans et les mains dans le dos. Avec sa jupe au-dessus des genoux, son chemisier blanc et sa queue de cheval, elle avait tout d’une ingénue. Sauf que son regard n’était pas, mais alors pas du tout celui d’une jeune fille timide. J’ai fait le tour du véhicule et, résolument, j’ai marché jusqu’à elle, en ne la quittant pas du regard. Là, je n’ai pratiquement pas marqué de temps d’arrêt. Mon bassin est venu, tout doucement, se lover contre le sien, et tout en glissant ma bouche contre la sienne, tout aussi lentement, mes mains se sont ...