1. Luc


    Datte: 09/09/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu,

    ... s’est-t-elle exclamée. Mais, je voyais bien, à son sourire, qu’elle savait que j’avais raison. — Et puis, pourquoi oui et non ?— Oui, parce que j’adore quand t’es heureuse et que tu me souris… et non, parce que je croyais pas qu’une fille comme toi, ça pouvait exister, et que surtout, je pourrais la tenir dans mes bras et l’embrasser. Je lui avais glissé ces mots sans même réfléchir, mais c’était si facile de parler avec elle. Son enthousiasme me poussait à la plus grande sincérité. Elle a paru comme… analyser ce que je venais de lui dire. Enfin, pas tout à fait, plutôt comme peser chacun des mots qu’elle venait d’entendre. Ça a dû lui plaire parce qu’elle m’a dit : — J’ai envie de toi, Luc !— C’est vrai ? Ma question n’en était pas vraiment une : je voyais bien dans son regard, qu’elle m’annonçait une vérité, et même une nécessité. Et moi, dans un flash, j’ai pensé : "Dire qu’il y a à peine deux heures, je ne la connaissais même pas… Je vais me réveiller pour me rendre compte que je suis chez les dingues, et qu’on vient de m’administrer une drogue particulièrement euphorisante !" Elle se tenait appuyée sur les coudes, son visage pas très loin du mien. Elle a juste hoché la tête, des lueurs d’espoir plein les yeux. — On peut pas faire ça ici… y a des enfants partout, dans ce parc… On peut aller ailleurs, si tu veux, bien que je ne pense pas que ce soit une bonne idée.— Pourquoi ?— Parce que je n’aime pas l’idée de coucher avec une femme le premier jour.— Oui, c’est vrai… tu ...
    ... as raison… et puis, on est si bien, tous les deux, dans ton jardin secret ! Elle a paru… penser à ce qu’elle venait de dire, et son regard a changé. — Putain… pourquoi j’t’ai pas rencontré avant… ça m’aurait évité de faire toutes ces conneries ! Ça y est. On y était : elle allait me dire ce qui la rendait si triste, quand elle avait voulu se confier à moi, dans le bar. Il fallait juste que je la "pousse" un tout petit peu. — De quelles "conneries" tu parles ?— Tu me jugeras pas, hein, m’a-t-elle imploré, de la peur dans les yeux. Deux larmes se formèrent et coulèrent sur ses joues. — Jamais j’ferai une chose pareille, j’te l’jure, lui ai-je affirmé, la voix chevrotante, un peu. C’était dur de la voir pleurer, mais je voulais qu’elle crève l’abcès. — …— Vas-y, raconte-moi… moi, j’suis venu là que pour t’aider à l’origine… tu t’rappelles ? Elle a posé ses lèvres sur les miennes pour un bisou très tendre, et m’a dit, en retrouvant quelque chose de son ancien sourire : — T’es vraiment adorable !— Je sais, oui, ai-je plaisanté une dernière fois. Ce qui peut paraître incongru, de plaisanter dans un moment pareil. Mais ça a eu l’effet recherché : je voulais qu’elle me raconte ce qui la faisait tant souffrir… sans y accorder trop d’importance. Et elle m’a tout raconté. Tout. Son comportement avec "les mecs" était ce qui lui donnait le plus de remords. Ses aventures d’un soir où elle leur donnait son corps, pour qu’ils en fassent ce qu’ils voulaient. Pour employer ses mots, elle disait ...
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