Luc
Datte: 09/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
... s’être comportée comme la dernière des traînées, à les laisser la prendre dans toutes les positions, par tous les trous. Parfois un seul "mec" et d’autres fois plusieurs, simultanément. Dans des lieux invraisemblables, bien souvent au mépris de se faire surprendre. Dans un cri de rage, elle a lâché les vannes et s’est mise à pleurer. Elle pleurait comme une petite fille. Désespérément. Et moi, je la serrais dans mes bras, retenant mes larmes, ou essayant en tout cas. Je n’y suis pas parvenu, mais je caressais ses cheveux, son dos, sa nuque. Elle a pleuré longtemps, et quand j’ai senti que ça se calmait, je lui ai murmuré à l’oreille : — C’est bien que tu aies décidé d’arrêter… parce que tu vas arrêter, n’est-ce pas ?— J’ai… snif… déjà arrêté… depuis des mois, maint’nant…— C’est bien, ai-je répété. Il ne te reste plus qu’à oublier, maintenant.— J… je ne sais pas si je pourrai.— Je t’y aiderai si tu es d’accord… tu verras. En vérité, je ne savais pas vraiment comment j’allais l’aider. Mais, je me suis juré, à l’instant, dans ma tête, de faire tout mon possible, et même l’impossible pour y arriver. Je le lui ai dit, ce serment, après que j’eus repoussé sa tête pour la regarder dans les yeux. Les sourcils froncés, elle m’a demandé : — Pourquoi tu ferais ça ?— Ben, parce que je t’aime, Jennifer.— Co… comment tu peux aimer une ordure telle que moi ?— Arrête Jennifer… tu n’es pas une ordure… et de toute façon, jamais tu ne me feras croire ça… et je t’interdis de dire ça ! La colère ...
... m’avait submergé et je me suis rendu compte que je lui avais fait peur. Elle a accusé le coup. Vraiment. En tout cas, le fait que je hausse le ton ainsi a eu le don de sécher instantanément ses larmes. Mon regard s’est adouci quand je me suis rendu compte qu’effectivement, j’étais amoureux d’elle… je l’étais probablement depuis que mes yeux étaient tombés sur elle ! — Ce n’est pas la fille désespérée que j’aime… c’est celle que j’ai rencontré aujourd’hui, et qui est dans mes bras… la vraie Jennifer !— Comment tu sais que c’est celle-là, la vraie ?— Je le sais. C’est tout, ai-je affirmé, avec une telle véhémence que ses yeux ont paru en convenir. Et puis, jamais la "traînée", comme tu dis, n’aurait craqué, comme tu l’as fait dans les bras d’un inconnu !— Tu n’es pas un inconnu.— Oh si, j’le suis… en tout cas, j’l’étais y a pas deux heures… d’ailleurs, ça m’étonne qu’une fille comme toi n’ait pas d’ami à qui parler de tout ça !— Ouais, eh ben, t’es plus un inconnu et, aussi bizarre et rapide que cela puisse paraître, t’es le seul ami qui me reste !— Oh là, oh là… comme vous allez vite en besogne… L’amitié, ça s’mérite… t’es pas la reine d’Angleterre !— Hihihi… j… je vous somme de vous arrêter !— Bien, Votre Majesté !— Tu s’rais pas un peu dingue toi, des fois ?— Ouais ben, j’te signale qu’avant de te rencontrer, j’étais parfaitement sain d’esprit, m’exclamai-je, en louchant exagérément. Elle a éclaté de rire et c’était bon, tout simplement, de voir à nouveau son visage rayonner ...