1. Les anales des copines : La nunuche


    Datte: 10/09/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral fsodo, init, ecriv_c,

    ... s’est penchée en avant et a englouti ma queue pour lui prodiguer une fellation que je ne suis pas prêt d’oublier. Je n’en revenais pas de la dextérité de Sandrine dans l’art de la pipe. Rien que d’y penser, j’en bande encore. Je n’ai pas résisté bien longtemps à la douceur de sa bouche, je l’ai prévenue que j’allais jouir mais ce n’est pas pour ça qu’elle a arrêté, bien au contraire… La petite cochonne a redoublé de caresses avec sa langue si bien que je lui ai balancé tout mon foutre dans la bouche. Et pas une éjaculation de kéké ! Il y en avait tellement quelle n’a pas pu tout avaler. J’ai vu mon sperme lui dégouliner aux commissures des lèvres. Elle, elle s’évertuait , les yeux exorbités, surprise par la quantité de ma semence, à avaler en déglutissant. On aurait dit qu’elle allait s’étouffer mais elle insistait comme si cette semence était un met rarissime, un caviar que l’on ne peut gâcher. J’ai fini de m’épancher dans sa bouche gourmande, elle a recraché mon sexe comme à regret. Sandrine avait du sperme sur son pull, c’était d’une obscénité folle, elle l’a raclé avec son mouchoir. On ne s’est rien dit, on a pris le chemin du retour. Au camping, personne n’était levé, Sandrine est partie changer de pull. La journée s’est passée comme si de rien n’était. Sandrine semblait encore plus nunuche que d’habitude, je la regardais en pensant qu’elle cachait rudement bien son jeu, au vu de la pipe qu’elle m’avait faite ce matin. Je me demandais même si je n’avais pas rêvé. Mais, ...
    ... de temps en temps, lorsqu’elle me regardait, un court instant, je voyais son regard changer comme ce matin, en forêt, un regard de salope, de vicieuse… On s’est couché vers 23 heures ce soir-là… Au bout d’une demi-heure, j’ai senti la main de ma petite vicieuse passer dans mon duvet. Elle s’est mise à me caresser le sexe à travers mon caleçon. Tout de suite, j’ai eu une érection pas croyable. Elle a passé sa tête sous le duvet en même temps que sa main extirpait mon sexe de mon caleçon. J’ai senti qu’elle me happait, m’aspirait. C’était divin. J’ai envoyé ma main lui caresser le dos, puis j’ai descendu vers ses petites fesses que j’ai malaxées à travers son slip de coton blanc. Elle me suçait avec application tout en me caressant les couilles. J’ai écarté le fond de son slip et je me suis mis à lui triturer l’anus. Hé oui, j’avais en tête de la sodomiser depuis cette promenade de ce matin, certes son vagin m’attirait mais l’idée, un peu perverse, de lui prendre les fesses prenait le dessus de toutes mes envies. Sandrine acceptait, par ailleurs, cette caresse que je lui offrait en lançant ses fesses de mon doigt dardé contre son petit trou tout trempé de sécrétions. J’avais maintenant la totalité du majeur enfoncé dans l’antre délicat. J’avais peur que nos respirations saccadées ne réveillent la revêche Nathalie. Sandrine avait arrêté de me sucer pour, sans doute, mieux apprécier ce doigt qui lui fouillait le fondement. La petite cochonne roulait des hanches. Il était clair que ...
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