1. Les anales des copines : La nunuche


    Datte: 10/09/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral fsodo, init, ecriv_c,

    ... je ne pourrais pas la sodomiser ici, de crainte de réveiller notre collègue. En chuchotant, je proposais a Sandrine : — Viens me rejoindre au bloc sanitaire si tu as envie d’autre chose qu’un doigt dans ton petit cul. Certes, c’était gonflé de lui dire ça comme ça mais la belle ne s’en offusqua pas. Je me suis levé et je suis allé a notre lieu de rendez vous. Cinq minutes après, Sandrine entrait dans les sanitaires. Elle était vêtue, encore une fois, de manière bien bandante : corsaire gris moulant et petit pull cachemire blanc à col roulé. Comment résister ? A croire que la douce Sandrine avait deviné que ce type de tenue m’excitait. On s’est embrassé de manière très sensuelle puis je lui ai demandé si elle était toujours prête à m’offrir ses petites fesses. Toute rougissante, Sandrine m’avoua qu’elle en avait envie mais qu’elle ne l’avait jamais fait. C’est vrai qu’après l’épisode de la turlutte de ce matin, je me demandais si elle n’était, en fin de compte, pas si inexpérimentée que ça. J’apprendrais, par la suite, qu’à part les nombreuses fellations prodiguées à un ami de son père, elle n’avait que peu d’expérience. J’ai attiré ma petite collègue dans une cabine de WC. Malgré l’heure tardive, j’ai verrouillé la porte, des fois qu’un des ados ait une envie pressante et qu’il nous surprenne. Bonjour la crédibilité des animateurs… Je me suis débarrassé de mon caleçon et je me suis assis sur la lunette du WC. J’ai fait se retourner ma partenaire qui faisait preuve d’une ...
    ... docilité étonnante, sans doute un peu inquiète de ce qu’il allait se passer par la suite. Elle était debout devant moi, j’avais ses petites fesses moulées dans son caleçon au niveau du visage. J’avais peine à y croire ! Ce petit cul, j’allais le sodomiser… hummmmm. J’ai attrapé les bords de son caleçon que j’ai fait rouler le long de ses cuisses. J’ai écarté ses fesses de mes mains, j’ai contemplé, un court instant, le petit orifice plissé et je me suis mis à le lécher avec délectation. Tout de suite, Sandrine s’est mise à gémir sous la caresse de ma langue. Cette fille était incroyable, son petit trou s’ouvrait carrément sous mes coups de langue. Sandrine dit : — Vas-y, j’en ai envie…— Envie de quoi ? Je voulais qu’elle me le demande, j’avais envie d’entendre sa voix de nunuche, un peu niaise, me demander de l’enculer. Sandrine le comprit : — J’ai envie que tu me prennes les fesses, je veux sentir ta queue dans mon cul. Je l’ai attirée a moi. Elle a fléchi ses jambes, ses fesses ont frôlé mon sexe dressé. Elle se retenait en prenant appui sur les murs de chaque coté. J’ai pointé mon vit contre son anus. Doucement, tout doucement, Sandrine a appuyé ses fesses contre mon sexe. Contrairement à ce que je pensais, cela n’a pas eu trop de mal à entrer, ma salive aidant, j’ai senti ses sphincters s’écarter progressivement. — Hoooo, ça fait mal…— Continue, n’abandonne pas, tu vas voir, après c’est divin. Elle n’a pas abandonné. Mon gland est passé et, avec d’infinies précautions et de ...
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