1. Douceur insoutenable


    Datte: 11/09/2019, Catégories: fh, couplus, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, hdomine, Masturbation pénétratio, sm, attache, yeuxbandés, lettre,

    ... écris que j’ai beaucoup aimé son récit. Il ne répond pas. Trois jours après, je persiste : a-t-il inventé cette scène ou l’a-t-il vécue ? Toujours pas de réponse. J’insiste, je veux connaître ce type, je lui confie que moi aussi j’écris un peu, que je suis en train de modifier l’histoire du petit chaperon rouge, qui devient une innocente jeune fille à la disposition totale d’un grand méchant loup. L’inconnu veut bien me rencontrer. Il habite la région parisienne, moi aussi. Nous nous voyons un samedi. C’est un homme mûr mais très séduisant, bourré d’humour. Il me paye un Schweppes et adieu Berthe ! Je le relance le soir même : il peut faire ce qu’il veut de moi, m’emmener dans sa clairière, m’attacher de face ou de dos à son poteau, user du martinet ou de sa branche de pin, me couvrir de neige, me livrer aux randonneurs… Il veut bien revoir le samedi suivant la « petite fille exaltée » que je suis. Une petite fille de vingt-cinq ans, quand même ! Et qui dispose d’un chez-soi, au 7 avenue Montaigne, deuxième étage. Alors, veut-il m’y rejoindre, le grand méchant loup ? Il veut bien. Coiffeur, sous-vêtements sexy, courte jupe. M’épiler le pubis ou pas ? Je le lui demanderai, pour les fois suivantes. Sans poils, ce doit être mieux pour les pinces à linge. En attendant, elles seront pour mes seins. J’aurais dû acheter un martinet. Trop tard. Il me fessera. Il y a des glaçons dans le congélateur. J’en mettrai dans son whisky, il aura bien l’idée ensuite d’en passer partout sur ...
    ... mon corps, mes seins, mon ventre, l’intérieur si doux de mes cuisses… Le voilà ! Il prend mes lèvres, une langue impérieuse entre dans ma bouche. Ses mains palpent mes fesses. Vont-elles les frapper ? Il va sûrement m’ordonner de me mettre nue, de m’agenouiller, de sucer une verge de bois dur… Non, il porte ses mains toutes de douceur à mes joues et prolonge notre baiser. Puis il me sourit, déboutonne mon chemisier, dégrafe mon soutien-gorge parme, prend entre ses lèvres la pointe de mon sein gauche, ensuite celle de mon sein droit. — Tu as de très beaux seins, me dit-il.— Vous les trouvez aussi jolis que ceux de Nathalie ?— Bien plus, puisque Nathalie n’existe pas. Mais je pense que nous pouvons nous tutoyer, non ? Je ne réponds pas. J’ai failli dire « Comme vous voulez. ». Son comportement m’en a dissuadée. Il ne se comporte pas du tout en maître. C’est lui qui est bientôt à genoux devant moi. Il fait tomber ma jupe, descend mon slip, écarte mes lèvres avec une grande délicatesse et me lèche, aspire mon clito ; de sa langue, il le fait vibrer. Puis il se relève, se déshabille en toute hâte. Il bande tout à fait correctement. — Où est ta chambre ?— Viens. Je me jette sur le lit, jambes et bras écartés, comme si j’y étais attachée. Il reprend ma bouche, mes seins, ma fente trempée. Il déroule un préservatif pris je ne sais où et entre en moi doucement. Il se soulève, il va, il vient, si délicatement…« Qu’il soit plus brutal ! Qu’il me défonce ! » Mais non, il me sourit, dépose ...
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