1. Douceur insoutenable


    Datte: 11/09/2019, Catégories: fh, couplus, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, hdomine, Masturbation pénétratio, sm, attache, yeuxbandés, lettre,

    ... quelques baisers sur mes paupières, reprend ma bouche, vient plus profondément en moi, attendant mon plaisir avant de prendre le sien. Ce type est trop gentil, sa douceur est insoutenable et cela va s’éterniser si je ne fais pas semblant de jouir. Retour Lorsque j’ai vu la proposition d’antilogie « douceur insoutenable ! », c’est cette aventure bien réelle qui m’est venue en tête. —ooOoo— Il y a dans cette belle ville de Meaux un club libertin avec sauna et hammam : l’Aménophis, tenu par Nath. Nous choisissons, mon chéri et moi, d’aller à la soirée-buffet qui célébrera les trois ans de l’établissement. J’ai hâte autant que lui ! Mais patience : l’érotisme brûlant approche, l’inaccessible va bientôt disparaître. Viennent les préparatifs. J’épile mon minou sur les côtés et sous les lèvres jusqu’à mon anus. Douce torture : les « aïe ! » habituels se mélangent à ma mouille pendant que je pense au bonheur que j’aurai dans quelques heures. Hummm… les caresses et le moindre coup de langue des bouches étrangères qui m’attendent me feront gémir ; et je fantasme en raccourcissant le triangle de mes poils bruns. Le miel de mon plaisir sera bien visible. Je fais glisser sur ma peau ma robe noire moulante et seyante à souhait. De mes doigts habiles j’enfile mes bas satinés et je les accroche au porte-jarretelles coordonné à mon soutien-gorge et à ma petite culotte. Le sourire de mon compagnon, ses yeux pétillants, ses mains baladeuses et son sexe qui tend le tissu de son pantalon me ...
    ... disent que je suis tentante. Je garde mes envies bien au chaud et je lutte victorieusement contre moi-même pour ne pas céder, alors que nos sexes nous réclament de faire l’amour. J’enfile mon manteau et mes escarpins à talons fins. Voilà, je suis prête. Je ronronne en montant dans la voiture et je calme mon impatience en croisant mes jambes pour que le roulis masse mon clito durant les vingt kilomètres qui nous séparent du club. —ooOoo— Nous y sommes et ma patience va enfin être récompensée ! Je rayonne ; ma minette est dans un état… J’entre dans le club avec un déhanché de chatte en chaleur prête à se frotter aux matous et je salive à l’idée de faire « minette contre minette » dans des miaulements délicieux. Chaque parcelle de ma peau me dit « N’attends pas le gâteau d’anniversaire pour souffler les bougies ». Oh, ça oui ! Et elles seront érectiles au masculin, autant que clitoridiennes, puisque j’ai l’espoir de me délecter tout autant de puits féminins ! Enlacée par mon chéri, je jette un regard dans le salon. — Mais… le buffet froid, il est où ? Et je pense au petit cornichon à croquer de manière explicite, et au toast à qui donner un joli coup de langue pour devenir la tentatrice d’une femme. — Le traiteur n’a pas fini de préparer le buffet froid, nous répond la fille de Nath.— Nous nous occuperons agréablement en attendant. Je lui ai répondu la voix traînante, puis je murmure à mon chéri en me frottant langoureusement contre lui : — Le sauna, le hammam, ça te tente ? Humm…— ...
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