1. Douceur insoutenable


    Datte: 11/09/2019, Catégories: fh, couplus, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, hdomine, Masturbation pénétratio, sm, attache, yeuxbandés, lettre,

    ... m’abstiens de cambrer les reins ; lui imposer ma verge est hors de question, elle ne la sucera que si elle le décide. Lui vantant la thérapie du sexe pour le sexe, je lui ai juré qu’elle pourrait s’arrêter à tout moment, que nous n’irions pas au-delà de ses désirs. Je mettais mon corps à sa disposition pour qu’elle assouvisse en toute tranquillité ses manques. Je lui promettais de ne pas broncher, de ne pas la brusquer, de ne pas même lui parler si elle ne le souhaitait pas. Elle complexait sur ses hanches trop larges, ses seins trop petits ? Je ne la regarderais pas. Bien sûr, c’était possible ! Il lui suffisait de me bander les yeux… Elle se redresse, m’enfourche en tendant sa poitrine vers ma bouche. La pointe érigée d’un mamelon s’écrase sur mes lèvres, les force à s’entrouvrir. Je sais ce qu’elle attend de moi : gobant ce téton bandé, je le suce avec tendresse jusqu’à la faire geindre. Un fluide chaud et visqueux goutte sur mon ventre ; Muriel, qui mouille sur moi… Elle descend souplement ses hanches jusqu’à poser sa fente sur la colonne qui se tend un peu plus bas. Tout en glissant avec délice sur ma tige fébrile, dans un clapotis éloquent, elle m’embrasse à pleine bouche. Vissant sa langue à la mienne, elle positionne son sexe de façon à englober mon gland, s’immobilisant pour savourer l’intromission. Stoppé net à l’orée de sa chatte, je me retrouve prisonnier d’une douceur insoutenable… L’instant qui s’éternise ...
    ... me conduit au comble de la frustration. Que cherche-t-elle à prouver ? Son pouvoir sur moi ? Les limites de ma soumission volontaire, en espérant que je vais faillir, afin de continuer de voir les mecs comme des traîtres et des menteurs ? Fidèle au rôle auquel je me suis astreint, je bande ma volonté pour conserver mon immobilité de statue, repoussant ma ténacité à ses limites extrêmes. J’ai l’impression de sentir vibrer ma bite, en équilibre instable au bord de son gouffre… Soudain Muriel s’enfonce sur mon pieu. Pas le temps de se poser de questions, ma partenaire me pompe à toute allure, au rythme fou de ses cuisses d’acier. Avec un pareil traitement, je ne vais pas tenir ! Contre toute attente, elle jouit avant moi, dans un orgasme puissant qui masse de façon exquise mon sexe contre les parois de son vagin. Puis elle se retire dans une glissade gluante, me laissant une sensation amère de faim inassouvie. Ma bite pulse à vide, au bord de l’implosion… Des froissements de vêtements qu’on enfile à la va-vite, puis une bouche qui me susurre à l’oreille : — Je vais te détacher une main, mais n’en profite pas. C’est pour que tu puisses te finir pendant que je regarde. Toute honte bue, je me branle pour elle, et finis par gicler longuement sur mon ventre, entre mes doigts crispés. Plus un bruit dans la pièce. Hagard, je retire mon bandeau. Je suis seul. Muriel a filé, avec au creux des cuisses le bonheur du plaisir volé… Retour 
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