1. Douceur insoutenable


    Datte: 11/09/2019, Catégories: fh, couplus, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, hdomine, Masturbation pénétratio, sm, attache, yeuxbandés, lettre,

    ... sur sa poitrine des jets d’enfer ! Mon envie est à son comble. J’ai hâte ! La suite, vite ! Mais… les mots de Fred ? Finis ! Quel dommage ! Tout s’arrête avec sa dernière phrase, plus de transfert possible ! Je retiens mon plaisir. L’histoire a changé, Ben a pris le relais. Je lui jette un coup d’œil et je l’écoute à son tour. — Je regarde une superbe femme sur le lit à baldaquin alors que deux hommes la font gémir à tour de rôle en la pilonnant. J’ai le sexe en feu. Elle me voit et me fait signe de venir.— Et qu’est-ce qu’elle vous demande de faire ? interroge mon chéri.— Elle se met à quatre pattes sur les cuisses d’un des gars, les reins cambrés, la croupe offerte et elle me propose de… « m’occuper » de sa chatte. Ses yeux croisent les miens. J’esquisse un sourire particulier, puis je penche la tête et mes yeux le délaissent. Mais avant de m’évader une fois de plus, le regard posé ici et là, je lui demande dans un soupir délicieusement douloureux : — Continue, je t’écoute. Il a compris. Le jeu punitif reprend, chargé de saveurs douces-amères. Nous devenons les tortionnaires consentant l’un de l’autre, et nous acceptons chacun nos frustrations : lui de moi, et moi des autres. — D’un coup de reins, je m’enfonce dans sa fente. Ses poils sont mouillés par son plaisir. Elle gémit en gobant le sexe de son autre partenaire et se montre terriblement gourmande… « Encooore… » « Hummmm ! » et « Greeeee ! » à la fois… gourmandises… bougies enflammées… Souffler n’est pas jouer ? Ahhh ...
    ... booon ? Retour Elle a beau avoir noué des foulards de soie à mes poignets, je n’en suis pas moins entravé. Elle, c’est Muriel, la dernière collègue en date à rejoindre notre équipe de chefs de projets. Mais surtout, c’est un bout de mon passé miraculeusement ramené au présent… Lorsqu’on nous a présentés l’un à l’autre au café de la boîte, ça a aussitôt confirmé la folle idée qui m’avait traversé l’esprit en lisant ce nom sur un bureau, trois portes avant le mien. Même après vingt ans, il m’était impossible de ne pas reconnaître ce visage. Impossible d’oublier la toute première fille à qui j’avais fait l’amour. Et me voilà allongé dans cette chambre anonyme, nu sur un lit d’hôtel, les yeux bandés, les bras en croix, les mains liées, attendant que Muriel sorte de la douche. Elle m’a d’abord aveuglé avec un masque de sommeil, le genre que l’on distribue dans les avions ; puis, le souffle court et haché, elle m’a déshabillé. Enfin, elle m’a enjoint de m’étendre au centre du lit et d’écarter les bras, ramenés avec douceur contre les montants métalliques auxquels elle m’a ligoté. Le soir de notre rencontre, je l’ai invitée à prendre un verre dans un bar à vin non loin du boulot. Muriel a hésité avant de répondre « Chiche ! ». Les premiers moments, intimidés, nous avons échangé des banalités devant nos verres de pinot, avant de retracer nos parcours respectifs durant ces deux décennies où nos vies avaient bifurqué. Tout en l’écoutant, je détaillais ce qui avait changé en elle. Un ...
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