1. Douceur insoutenable


    Datte: 11/09/2019, Catégories: fh, couplus, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, hdomine, Masturbation pénétratio, sm, attache, yeuxbandés, lettre,

    ... soupçon de pattes d’oie, qui fronçait son regard vert où des paillettes d’or pétillaient toujours. Quelques fils d’argent dans sa chevelure sombre. Mais surtout cet air affirmé, qui la rendait fort différente de la discrète étudiante de mes souvenirs. La porte s’ouvre, le lit grince légèrement du côté où elle s’assoit. Je me sens fébrile. Après toutes ces conquêtes qui ont glissé dans ma vie de célibataire épanoui, c’est à mon tour d’être la proie, le corps que l’on convoite et que l’on mate sans scrupule, avant de s’en repaître. Ce sont d’abord ses cheveux qui me caressent, balayant mon torse dans un lent mouvement latéral. J’inspire profondément ; son parfum ramène à la surface des images lointaines, qui se substituent à ma vision occultée. Elle m’avait fait la remarque de mon absence d’alliance ; j’avais répondu que ça ne s’était pas fait, n’ayant pas trouvé « la bonne ». À mon tour, je l’avais interrogée. Avait-elle un mari, des enfants… des animaux ? Elle avait eu, avant de divorcer il y a quelques années. Depuis, même si parfois ça lui manquait, elle vivait sans mec, se déplaçant de ville en ville au gré des missions confiées par la boîte. Une ombre avait voilé son regard, terni son sourire. Sujet sensible, part sombre à éviter… Ses doigts me pétrissent, me cajolent, je la sens affamée de ce pouvoir nouveau qu’elle détient sur moi. Muriel peut tout exiger, tout contrôler et visiblement elle se délecte de ce qu’elle va me faire subir. Elle palpe mes biceps, griffe ...
    ... légèrement mes pectoraux, glisse le long de mes côtes. Le moindre geste m’étant interdit, je ne peux pas me dérober. Alors, en me mordant les lèvres dans la nuit qui est la mienne, je la laisse agacer ma chair, retracer mes formes du bout des doigts. Je me retiens d’exhaler le moindre soupir, la moindre supplique, même au moment où elle se saisit enfin de mon sexe. On s’est revus plusieurs fois. Dans des bars, des restos, puis enfin au ciné, occasion rêvée de la raccompagner chez elle. Bien qu’elle ne m’ait pas proposé de monter, elle ne faisait pas non plus mine de sortir de la voiture. Certain que le moment était venu, j’avais approché mes lèvres. Me repoussant gentiment, elle m’avait expliqué ses déconvenues répétées, la perte de confiance envers les mecs autant qu’en elle-même… Bien sûr, le sexe représentait un manque criant, mais la peur de laisser un homme la blesser encore était plus forte. Alors, petit à petit, j’en étais venu à lui proposer cet étrange marché, qui répondait à chacune de ses objections… Pleinement consciente de sa toute-puissance, Muriel me branle lentement, caressant mes bourses, titillant le frein de mon sexe décalotté. Elle approche son visage, hume l’odeur de ma queue, cette odeur qui doit sûrement la chavirer. Si, comme elle le dit, elle n’a pas baisé depuis le 1er janvier, ça doit la « travailler ». Une langue impertinente effleure mon gland, éprouve la délicatesse de sa peau tendue à rompre, avant de sillonner ma hampe avec une lenteur d’escargot. Je ...
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