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Homo sapiens Pornoensis (3)
Datte: 12/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe
Je fus réveillée par une conversation. Le soleil inondait la clairière dans laquelle se trouvait le village, ce qui était plutôt rare. Ici le climat est chaud mais humide. Le ciel est rarement bleu. En me redressant sur mes coudes, je sentis un liquide glisser entre mes seins et ruisseler dans le creux de mon nombril. Comme il ne pleuvait pas, je mis les doigts sur cette rosée épaisse. L’odeur était sans équivoque. C’était du sperme. J’en conclus que Teuboku avait dû se masturber au dessus de moi récemment. Ce dernier discutait avec un jeune indigène, dont la bite tendue affichait clairement les prétentions. Au contraire, celle de Teuboku était flaccide quoique déployée. Je m’enquis de ce qu’il se passait. C’était très simple. Le jeune homme s’était présenté pour me sauter. Je lui fit répondre que ce n’était pas le moment mais qu’il pourrait revenir plus tard. Il tourna les talons et disparut. J’en profitai pour régler mes comptes avec mon colocataire. - Dis donc Teuboku. Tu pourrais me demander avant de te masturber sur moi. - C’est pas moi! - Ben voyons ! - Je t’assure. Il y a un autre gars qui est venu. Il voulait te baiser et je lui ai dis de ne pas te réveiller. Alors il a fait ça au dessus de toi. - Tu crois que je vais avaler ça ? - Si tu veux avaler quelque chose, suce-moi. Tu vas voir que je suis encore plein. Et tout en disant cela, je vis sa queue se dresser. Il n’en fallut pas plus pour me convaincre de sa sincérité. - Ok, excuse-moi. Ramasse ta bite. On passe à ...
... autre chose. - C’est malin. Maintenant, je bande... tu veux pas... - Pas le temps. On aura toute la nuit prochaine pour ça si tu veux. - Juste une branlette (en vocabulaire, il apprenait vite!)rapide entre tes seins là ? - Branle-toi si tu veux, mais sans moi. J’ai rendez-vous. - Oui, mais en même temps, tu as encore besoin de moi comme interprète. - C’est vrai... bon ben fais-la moi en mode éjaculateur précoce. Teuboku se mit donc à se pignoler avec vigueur. Il implora mon aide pour hâter le dénouement. Quelque coups de langue bien sentis lui permirent d’achever sa branlette, droit sur mon visage. Je fis une toilette sommaire puis, accompagné de mon traducteur, je m’en fus à la cabane du chef. C’était l’heure du repas. Il fit demander les deux dernières filles qui étaient revenues de chez les "grands hommes noirs de la forêt". Tout me fut expliqué : Afin de maintenir de bonnes relations de voisinage avec les géants, les Boukipus leur prêtaient en permanence quatre jeune femmes pour une durée de six mois renouvelable par moitié tous les trois mois. En contrepartie les géants fournissaient à la tribu des plantes rares aux vertus médicinales avérées, des vivres et autres bien nécessaires à le vie en clan, notamment des os ou du bois très dur pour faire des armes de jet. Les jeunes filles qui étaient revenues déclarèrent qu’elles étaient très bien traitées. En fait, elles servaient d’objet sexuels à tous les hommes du clan. Je demandai pourquoi pas les femmes des grands hommes. ...