1. Homo sapiens Pornoensis (3)


    Datte: 12/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... comme je l’avais vu faire dans des films de cul. Les femelles du village vinrent prendre des leçons. Et au bout de quelques temps, je dus bien admettre que c’est moi qui recherchais les mecs, sans avoir besoin de beaucoup me fatiguer d’ailleurs pour en trouver. Bref, j’étais en train de devenir accro à la bite. Totalement adoptée par la tribu, je me fis à ses us, et me promenai désormais toujours nue, avec juste un petit cache-sexe de rien du tout. Le bruit de ma présence s’était répandu dans les autres tribus et les visites se faisaient curieusement plus nombreuses. Je devins pour mes nouveaux compatriote un objet d’échanges. Les affaires prospéraient. J’étais devenue la pute de la forêt. On venait par pirogues entières, les bras chargés de cadeaux, s’accoupler avec la grande femme blanche; Les types restaient une nuit dans le village et après un banquet en leur honneur, on les amneait chez moi. Le sperme coulait à flot de ma chatte et de ma bouche. Curieusement moins portés sur la sodomie que sur le reste, les indigènes laissaient très souvent mon trou du cul en repos. Teuboku s’en accommodait très bien qui m’enculait souvent, notamment en double quand j’étais perchée sur la bite d’un de ses congénères. Il était évident que baiser était un acte aussi naturel qu’un autre pour tout le monde ici; Il n’était pas rare, à n’importe quelle heure du jour de voir un couple s’enfiler. On ne se cachait pas. Et au bout de quelques jours je n’eus plus aucun complexe à, jouir en public, pour peu que le garçon me plût. Il en venait même pendant les repas. Je ne vis pas le temps passer et l’attente de mon expédition chez les "grands hommes noirs de la forêt" me parut finalement bien courte. A suivre
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