1. Homo sapiens Pornoensis (3)


    Datte: 12/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Cependant, les femmes doivent rester vierges jusqu’au mariage, à l’exception de celles qui sont choisies pour être les compagnes des "grands hommes". Celles-là sont même les seules qui ont le droit de rester célibataires... ce qui arrive rarement. La demande en mariage se fait de la même manière que pour exprimer le désir. Le prétendant se présente la queue en l’air, mais, il a pris soin de revêtir son costume de chasseur de cérémonie avec plumes et bracelets. La fiancée peut ainsi juger sur pièce de la virilité du prétendant de même que tout le clan qui assiste à la scène. Si le chef du clan, c’est à dire de la case (à ne pas confondre avec le chef du village qui dirige toute la tribu et donc toutes les cases) est d’accord et si la fille l’est aussi, le mariage a lieu. J’ai eu le privilège d’en voir plusieurs. La cérémonie est publique. On épouse toujours la fille d’une autre case. A la tombée du jour, les deux chefs de clan, celui du marié et celui de la mariée se rencontrent sur la place du village ou dans la case commune en présence du chef du village, du sorcier et de tous les mâles des deux clans, sauf quand la météo oblige d’être à l’intérieure. Là, seuls les hommes entrent, plus deux ou trois femmes de la case du marié qui constateront la virginité de la promise. Le chef de tribu reçoit le consentement des deux chefs de clan, puis on échange les cadeaux et, enfin, on fait venir les fiancés, d’abord l’homme, nu, puis la femme, entièrement nue également, tous deux ...
    ... couverts de plumes et bijoux. Les matrones font du doigt et de l’oeil leur certificat gynécologique qui a généralement comme résultat de mettre tous les mecs en rut. Quand c’est fait, le marié pénètre la mariée, rendant ainsi l’union officielle. Ensuite ont lieu des agapes pendant lesquelles tous les hommes mariés, même le père les frères et les cousins, ont le droit de tester la nouvelle épouse, sans la féconder bien sûr. Si la fête a lieu sur la place du village, quand tout le monde peut y assister, cela se termine en principe en partouze générale qui dure jusqu’à l’aube. Le lendemain, l’activité du village est singulièrement réduite. Bien sûr, à chaque fois que je demandai la permission d’observer ce rituel, je l’obtins et me fit sauter en conséquence. D’ailleurs, les mecs n’oubliaient pas ma promesse et cela défilait sans arrêt. Dans les tous premiers jours, j’éprouvai une lassitude certaine mais au bout de deux ou trois semaines, je commençai à m’y habituer. Je crus pouvoir obtenir un répit, prétextant mes indispositions, mais il parait que les règles ne constituent en rien un obstacle au sexe et feignant qu’elles fussent douloureuse, on me donna certaine décoction qui devait en anihiler la pénibilité. Je me dis qu’avec ça je pourrai faire fortune en Europe mais pour le moment je dus bien prendre toute les queues qui se présentaient. D’ailleurs il restait toujours deux trous de libres et mes petits camarades avaient une prédilection marquée pour ma façon de tailler des pipes, ...