Une vie de....
Datte: 05/09/2017,
Catégories:
Humour,
Inceste / Tabou
... ,"C'est les patins", Elle se colle contre moi pour comparer, m'arrive sous le menton. "Putain, t'es grand ! T'es en troisième?" J'acquiesce. "Ton oiseau il est grand aussi ?" Et voilà que pour la première fois de ma vie, alors que je suis peinard et tranquille dans le petit bateau, pour la première fois, des doigts étrangers me dérangent. Un, deux, trois qui commencent à me déplier, à me caresser de bas en haut et vice-versa ! Une première ! Et le jeune qui ne dit mot...ces doigts sont frêles, doux, agiles. Ils sont arrivés par le haut, sans doute en écartant les ceintures et maintenant c'est une main entière qui procède à ma saisie totale, à mon enfermement total et je suis soumis à un lent va et vient vertical, à l'intérieur des fringues. Je me sens grossir, grossir, et, comme dans la fable le chétif pénis s'enflait si bien qu'il en crachât ! La main se retire doucement, comme à regrets, emportant l'essentiel de ce chaud, doux et jeune nectar. " c'est le première fois, hein, ça se voit, t'es rapide !" .Pour les grandes vacances, camping à la plage. Plongée avec tuba, pédalo, petit dériveur...voilà que je repère une jolie dame, style Mireille D'arc, blonde, mince, fluide, une vieille de vingt cinq ans avec deux jeunes enfants. Paraît-il, l'épouse d'un homme belge qui est venu l'installer en caravane et a rejoint ses affaires dans le plat pays. Il est fou cet homme de laisser un si bel objet, vêtu du bikini minimum sur une plage ensoleillée au milieu d'ados en rut. Elle est ...
... l'attention de tous, elle le sait. Finalement mon jeune patron se lance; ce fut un de ces soirs d'été comme on les connaît, l'air tiède, le vent léger incitent à marcher en bord de plage et la rencontre fortuite ( hum?) font que mon pilote peu expérimenté n'a pas sût choisir l'adéquate position pour terrain mouvant, que j'ai fini dans le sable, que c'est dangereux, corrosif. Heureusement la grande bleue aux reflets d'argent était là pour un toilettage rapide et une finition dans l'eau salée. J'ai été à la hauteur, le jeune en fut fier et la jolie blonde comblée par son injection de testostérone juvénile du meilleur cru.Puis vint la rentrée scolaire. Je crois comprendre que mon jeune boss fait deçi-delà des tentatives auprès de copines, je reçois quelques messages, mais jusqu'à l'université, à part quelques coups fortuits ma vie reste calme. Je me souviens d'une cajoleuse, très douce, une manuelle sans doute. Nous nous fréquentâmes assez longtemps, je n'ai connu que ses mains, quelques pudiques baisers sur le casque, des évitements lors des éjections, mais pas eu l'honneur de visiter son intérieur.Puis l'an 68 vint !Alors là, je me suis juré plusieurs fois de me syndiquer, mes deux camarades aussi, toujours en limite de rupture de stock. J'ai même relevé une longue journée pendant laquelle j'ai usiné comme un forçât. Faut dire qu'il avait une régulière assidue. Je crois, une jalouse qui calculait de nous sécher, mes petites camarades et moi, afin qu'il se tienne tranquille pour ...