Une vie de....
Datte: 05/09/2017,
Catégories:
Humour,
Inceste / Tabou
... accueillantes, de bouches vivantes, de langues fulgurantes, de cavernes étonnantes, de vulves épatantes s'ouvrant sur des lèvres charmantes.Bien sûr qu'on a sa fierté, lorsqu'on a vu tant de mains venir te saluer, te câliner, observer ton inflation orgueilleuse qui provoque l'arrondi de cette bouche qui ne manque pas de te surplomber pour te déguster, qui sait faire durer le plaisir de l'enveloppement de sa douceur, parfois de sa vigueur qui devient ton partenaire de jeu dès la première rencontre, capable de maitriser, de juguler ton émotion jusqu'à n'en plus pouvoir, qui maitrise les vannes de tes hormones et de tes liqueurs.Bien sûr qu'on a sa fierté, et qu'on est pas fait pour l'introspection du premier trou qui passe car il arrive parfois que ce soit un fou furieux, un avide, un glouton sans éducation qui veut juste te piquer ton jus précieux qui bibliquement est réservé à la multiplication de l'espèce et non à des jeux de vilains. Mais ça c'est difficile à faire comprendre à ton patron, à ces femelles avides de sensations, avides aussi de remplir leurs cahiers de chasse...Pour conclure, il y en a un que je ne supporte pas. Un petit, un rabougris, un ...
... échantillon qui s'en croit, qui se monte le col, qui se pose en concurrent et qui passe son temps planqué, au chaud, sous une toison plus ou moins sauvage, recouvert de deux lobes, telle une vésicule dans un foie, et en plus encapuchonné comme un esquimau.Te voilà déjà à découvert, toi le chasseur, alors que lui toujours aux abris, faisant le timide, il faut le déloger. C'est souvent mon patron qui s'en charge et s'en gave même. Moi je lui crache dessus quand j'ai l'occasion. Pourtant, même combat que moi, il a une patronne lui aussi. J'ai même capté une péronnelle, disant un jour à mon Boss qu'elle se débrouillait toute seule, ses doigts et son bourgeon s'entendaient à merveille, que l'introduction...Fou, j'étais ! Le Boss il a été génial, il a pas baissé les bras et moi j'ai hissé les couleurs si haut que j'ai eu les deux amygdales et la queue ! Je déconne, j'ai bousculé son intérieur, perturbé la quiétude de son utérus, et envoyé la purée tellement qu'elle m'a prouvé sa reconnaissance par un gros buco-câlin tellement bon que je l'ai remerciée par un deuxième service. Pendant ce temps l'encapuchonné il a pas sorti sa tronche.Bien sûr qu'on a sa fierté !