1. Le gîte de l'amour


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, grp, fbi, frousses, couple, extracon, poilu(e)s, bain, campagne, jardin, hotel, Collègues / Travail douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, échange, piquepince,

    ... C’est de savoir que tu vas pouvoir sauter Michèle qui t’excite à ce point ?— Non, c’est de t’avoir toi, si ouverte, si bonne et si complaisante. Je t’aime, et j’aime la liberté sexuelle de notre couple. ********** Le samedi suivant, Jacques va chercher Michèle à la gare de Valence. — Ainsi, lui dit avec un air mutin Emmanuelle, tu pourras prendre un peu d’avance avec elle.— C’est ce que tu veux.— Si tu en as besoin, tu as mon absolution, mon amour. Lorsqu’il voit la jeune femme s’avancer sur le quai de la gare, c’est comme un éclair. Lorsqu’ils sont dans le véhicule, elle ne peut ignorer le sexe de Jacques qui bande dans son jean. — C’est un inconvénient, ou un avantage de ne pas porter de sous-vêtement ? demande-t-elle.— Que veux-tu dire.— Eh bien, tu ne portes que ton pantalon, et ta queue distend le tissu. L’avantage, c’est de démontrer par des « gestes », comme tu dis, ton intérêt pour moi. L’inconvénient, c’est la discrétion.— Et toi, tu portes des dessous ?— Vérifie par toi-même… Jacques pose une main sur un genou de Michèle et remonte le long de la cuisse jusqu’à la chatte. Ne rencontrant pas de culotte, il engage la voiture dans un chemin discret, coupe le contact et commence à l’embrasser. Elle répond avec effusion à ses baisers en mêlant sa langue à celle de son partenaire. Leurs mains courent sur leurs vêtements. Elle n’a pas mis de soutien-gorge non plus, et dans ses mains il sent la souplesse des deux seins ainsi que les bijoux intimes en forme de petits anneaux ...
    ... ornant la pointe des tétons. — C’est pour toi que je n’ai pas mis de dessous, lui dit-elle avec un large sourire, car contrairement à Emmanuelle, je n’ai pas l’habitude d’être nue sous ma robe. Lorsque je suis sortie de chez moi ce matin, ça m’a fait drôle ; c’est un peu comme si je ne portais aucun vêtement. J’avais l’impression que tout le monde me regardait… C’était juste une sensation, nullement une réalité. Les mains de Jacques passent sous le tissu de la robe, viennent à la rencontre de la douce peau du ventre. Michèle empoigne la queue de Jacques. Il l’aide à l’extirper de son pantalon, et elle la malaxe avec douceur et fermeté. Bientôt, Jacques s’insinue vers le sexe qu’il n’a que légèrement effleuré. Il admire ce bas-ventre sans poils, ce qui le déçoit un peu. Mais trouvant la moule particulièrement attirante, il y plonge les doigts, puis le visage pour goûter au jus qui s’en échappe. Jacques a envie d’elle. Elle est sur la même longueur d’onde. Il sort du véhicule, couche sa partenaire sur la banquette arrière et la prend alors qu’elle est couchée sur le ventre puis, l’ayant retournée, c’est en admirant son visage, ses seins s’animant et sa chatte glabre qu’il la pénètre. Ses va-et-vient sont à la fois sensuels et puissants ; la jeune femme apprécie cette prise de possession de son corps. Il voit bien son pieu s’enfoncer dans la vulve, distendre les chairs délicates. Michèle jouit. Un orgasme la submerge, lui apportant une libération. Jacques continue à la prendre, ...
«12...121314...17»