1. Le gîte de l'amour


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, grp, fbi, frousses, couple, extracon, poilu(e)s, bain, campagne, jardin, hotel, Collègues / Travail douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, échange, piquepince,

    Résumé des épisodes précédents : «Sous la pluie » Les années 1970 étaient une époque sans SIDA. Cela ne veut pas dire qu’il n’y avait pas de MST, mais les antibiotiques rendaient guérissables la plupart de ces maladies, telle la syphilis. La menace était donc moindre.C’est à Paris que Leïla a rencontré Jacques. Le jeune homme découvre avec elle – et à sa demande – une sexualité basée sur la fougue, la brutalité, une certaine dose de cruauté. Leïla, qui est en couple avec un jeune homme fortuné, le quitte avant qu’on ne lui mette la corde au cou par un mariage. Elle veut rejoindre une communauté hippie dans le sud de la France. Elle persuade Jacques de l’accompagner.«La communauté »Au sein de cette communauté, Jacques découvre une nouvelle façon de vivre et effectivement une possibilité d’expérimenter une sexualité libre, saine et décomplexée. Les membres sont, tout au long de la journée, totalement ou partiellement nus et les expériences sensuelles multiples.«Larzac »Jacques noue avec Emmanuelle une relation amoureuse fusionnelle. Pour autant, ils continuent à partager avec leurs compagnons les valeurs de paix et d’amour, la liberté sexuelle et la pluralité des partenaires. Ils ne vivent pas en dehors du monde réel, s’associant à des actions d’envergure, telle la lutte des paysans du Larzac.«Jacques, loin des hippies »En 1974, Jacques quitte la communauté et prend la direction de l’entreprise familiale après le décès de son frère. Il s’est marié, mais son union étant un ...
    ... échec, c’est avec son ex-belle-sœur et la fille de celle-ci qu’il assouvit ses besoins sexuels.«20 ans après »Jacques revient sur le lieu de la communauté. Il retrouve Emmanuelle, seule rescapée qui y tient un gîte d’étape. Elle lui apprend qu’elle a mis au monde des jumeaux peu après son départ. Il en est le père. Jacques propose de s’investir dans le gîte. ________________________________________ L’hiver est consacré au gros œuvre des rénovations du gîte avec la création de nouvelles salles. Ainsi la partie où vivaient les bêtes est transformée en une salle à manger, une cuisine et un coin salon. Deux nouvelles chambres pouvant accueillir quatre à cinq personnes et un dortoir de six lits avec deux salles de bain s’ajoutent aux couchages déjà disponibles. Le couple y met toute son énergie et Jacques engage dans les travaux beaucoup d’argent. Le retour sur investissement est totalement étranger à sa façon de voir la chose ; il se dit simplement qu’il a été négligent et fautif en s’écartant du lieu où vivait la seule femme qu’il aimait.« On ne rattrape jamais le temps perdu, mais il est peut-être possible de continuer à faire exister ce lieu, d’y vivre, même s’il n’a plus grand-chose à voir avec la philosophie des hippies qui l’ont peuplé et des valeurs qu’ils véhiculaient. » Dès les premiers beaux jours du printemps, Emmanuelle et Jacques veulent retrouver les joies des bains naturistes dans la rivière. Ils rejoignent le bassin où ils faisaient leur toilette. Avec impatience, ils ...
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