1. Le gîte de l'amour


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, grp, fbi, frousses, couple, extracon, poilu(e)s, bain, campagne, jardin, hotel, Collègues / Travail douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, échange, piquepince,

    ... ôtent leurs vêtements. L’un comme l’autre ont opté pour ne plus porter de sous-vêtements. La femme est depuis longtemps adepte des seins nus et de la vie sans culotte. Pour Jacques, c’est plus neuf après vingt années de contraintes. Sa compagne est pour beaucoup dans son revirement. Après un laps de temps pour s’habituer, il trouve de nouvelles sensations, à commencer par un sentiment de liberté et un grand confort, particulièrement lorsqu’il fait chaud. Les irritations dues à la transpiration disparaissent, la peau peut respirer librement, et comme le dit Emmanuelle : — Ainsi tes parties génitales ne macèrent plus dans un slip.— Oui, c’est très agréable de ne plus avoir la verge et les testicules compressés dans un slip ou un caleçon.— Et ta queue est bien plus savoureuse lorsque je la prends en bouche.— Elle est aussi plus accessible pour que je puisse te l’offrir quand tu le souhaites.— Oui, je peux l’avoir facilement sous la main. Tu n’es pas en reste.— Certes, je n’ai qu’à relever ta robe pour te caresser les fesses, chatouiller ta touffe, sentir la moiteur de ton sexe.— Et me prendre quand le cœur t’en dit, sans crier gare.— Mais tu aimes ça, mon amour.— Je suis toujours heureuse de t’accueillir. J’aime sentir ton sexe en moi, tout autant que lorsque tu pétris mes nichons alors que je suis sans défense. Une fois nus, ils entrent progressivement dans l’eau transparente. Elle est froide et vivifiante. Lorsqu’ils sont au milieu, ils nagent et batifolent avec joie en ...
    ... s’aspergeant comme deux ados. Bientôt leurs jeux se font plus érotiques, alternant caresses, pelotages et baisers. Leur toilette avec la saponaire – l’herbe à savon – est une nouvelle occasion d’échanger des attouchements en nettoyant le corps du partenaire jusque dans ses moindres détails. Après avoir goûté à ce bain, ils sortent de l’eau et viennent s’étendre sur la grève pour que le soleil sèche leur corps. Ils se regardent intensément. Nus en pleine lumière, ils sont envahis par un bien-être prodigieux. Il n’est plus question, en cet instant, ni de pudeur ni de pulsion sexuelle ; juste la volonté de communier avec la nature. Ils s’admirent. Le calme est absolu, jusqu’au moment où Emmanuelle pouffe de rire : — Qu’y a-t-il ? demande-t-il.— C’est ta queue, mon pauvre loulou. Avec l’eau froide, elle est devenue ridiculement petite, juste un asticot.— Avec l’eau froide, même le mec le mieux membré se retrouve avec une vergette. Mais ne t’inquiète pas : ça va reprendre une taille normale, ma chérie, pour t’honorer. L’asticot va se transformer en cobra. Par contre, chez toi, le froid a une réaction diamétralement opposée sur tes nichons : ils sont comme des pointes de silex, prêts à me transpercer. Serais-tu excitée en plus ?— Vérifie par toi-même entre mes jambes. L’humidité n’est pas due seulement à l’eau de notre bain. Jacques passe la main dans la fourche des jambes ouvertes et porte ses doigts humides à sa bouche. — C’est bien ton jus. Excuse-moi, mais malgré ma verge qui reste ...
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