1. Le gîte de l'amour


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, grp, fbi, frousses, couple, extracon, poilu(e)s, bain, campagne, jardin, hotel, Collègues / Travail douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, échange, piquepince,

    ... J’ai fait mine de rien et, sans savoir qui était le voyeur, je me suis exhibée, passant mes mains le long de mon corps, massant mes seins, allant à la recherche de mon sexe à travers mes poils pubiens.— Tu as offert à ton voyeur des visions idylliques. Un voyeur qui observe une exhibitionniste, c’est un comble.— J’ai commencé à me branler en introduisant un doigt dans ma chatte, les jambes largement ouvertes dans sa direction.— Et il ne s’est pas montré ?— Non. Alors j’ai dit « Si au moins il y avait un homme pour me prendre, là, tout de suite, sans attendre… » Il n’y avait toujours aucune réaction. Alors je l’ai interpellé directement : « Plutôt que me mater, viens donc. Tu me verras de plus près et tu pourras même toucher ce que tu regardes. »— Tu avais une chance sur deux que cela réussisse : il pouvait avoir peur de s’être fait découvrir en tant que voyeur et prendre ses jambes à son cou, ou alors il venait à toi pour te prendre, répondant à ton invitation libidineuse.— C’est la seconde solution qu’il a choisie. Et je dois dire que lorsque je l’ai vu, je n’ai pas regretté mon invitation. Car ç’aurait pu être un vioque ou un boutonneux, un énorme ou un maigrichon. Non, il était mignon comme tout. Il a commencé à me peloter, me caresser les nichons, le ventre, la chatte, écarter les poils pour découvrir ma conque. Il allait de ma vulve à mes seins, avec des gestes désordonnés et impatients… Ça ne te dérange pas mon chéri que je te raconte cela ?— Non, au contraire : ...
    ... regarde ma queue qui se redresse ; cela m’excite.— Donc, je l’ai aidé à quitter ses vêtements. Alors j’ai découvert son corps bien musclé, un ventre noueux, des épaules larges, des fesses musclées et une queue, un peu fine, mais longue, et qui s’est redressée comme un beau diable lorsque j’ai baissé son caleçon. Il a tenté de la cacher avec ses mains ; je lui ai montré que moi je ne craignais pas d’être nue devant lui, alors il accepta de les retirer. Il a eu un moment de recul lorsque j’ai pris son gourdin en main. Mais finalement il s’est ravisé et m’a laissé faire. Il m’a pénétrée dans la position du missionnaire, certainement la seule qu’il connaissait. Puis je l’ai fait ressortir de moi et je me suis mise à genoux, croupe cambrée pour faire ressortir mon sexe. Il a tout de suite pigé, il avait vu les bêtes faire ; il m’a pénétrée en levrette. Tout en me pilonnant, il me pelotait les fesses, la chatte, les nichons. J’entendais sa respiration de mâle en rut, et je ne me suis pas privée de pousser quelques cris de jouissance pour l’encourager. Il a éjaculé en moi, rapidement, trop rapidement à mon goût, et je ne suis promis d’y remédier. Il était épuisé et s’est écroulé à côté de moi. J’ai recueilli sur ma moule un peu de son sperme pour y goûter. Il avait bon goût, une saveur qui m’a bien plu. Je me suis nettoyée en entrant dans l’eau alors qu’il reprenait ses esprits. Il était encore couché, la bite en berne, lorsque je l’ai abandonné en lui donnant un baiser et en lui disant : ...
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