1. Le gîte de l'amour


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, grp, fbi, frousses, couple, extracon, poilu(e)s, bain, campagne, jardin, hotel, Collègues / Travail douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, échange, piquepince,

    ... toute mollassonne, moi aussi je suis excité.— Tu veux que je te tripote le mollusque pour qu’il reprenne de la consistance ? Sans attendre la réponse de son partenaire, Emmanuelle prend le sexe rétracté en main et commence à le branler. Elle réussit brillamment à réveiller la queue qui semblait en hibernation, et lorsqu’elle a repris une dimension convenable, la femme s’emploie à la lécher, à agacer le gland, à prendre la colonne de chair en bouche. Ses va-et-vient éveillent chez Jacques une félicité pleine de volupté. — J’avais envie de ta queue, mon amour… lui dit Emmanuelle avec une lueur d’espièglerie dans le regard.— Oh, c’est absolument divin.— Reste sur le dos, je viens sur toi. La femme enjambe le corps de l’homme et dirige la verge tendue vers l’entrée de son con humide. Elle fait descendre son corps jusqu’à ce que le sexe masculin soit au fond d’elle. Après une immobilité totale, elle remonte sur la colonne de chair, puis redescend avec une lenteur toute maîtrisée. Jacques est ravi du traitement. Lui revient en mémoire un texte de Choderlos de Laclos où la Marquise de Merteuil écrit au vicomte de Valmont : Certes, Emmanuelle n’est pas une prude, elle ne le fut jamais, elle ne le sera sans doute jamais. Elle aime trop ce « délire de volupté » et ne connaît pas le sens du mot « chasteté ». Elle est tout au contraire licencieuse, délurée, provocante, et ô combien excitante. C’est tout cela que Jacques aime chez elle, ce caractère libre et insoumis. Il l’aime ...
    ... éperdument, tout en sachant bien qu’il lui faudra accepter le jour où elle lui dira « Mon amour, excuse-moi, mais je n’appartiens à personne. J’ai envie de cet homme ou de cette fille. Ne m’en veux pas que je souhaite aller chercher la jouissance dans un autre lit que le tien. » « Je n’en ressentirai aucun outrage ni jalousie,réfléchit-il.Cette liberté que je lui accorde de profiter d’autres hommes que moi a même la faculté de m’exciter. Et je sais qu’elle me reviendra encore plus lascive et brûlante, avec une sensualité à fleur de peau. Car plus elle se fait baiser, plus elle veut baiser. Alors c’est moi qui en récolte tous les bénéfices. C’était une chose si normale du temps de la communauté ; pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ? » Emmanuelle emporte Jacques vers une jouissance phénoménale. Il explose en elle et elle le suit dans ce coït explosif avec pour seul témoin le soleil printanier. Elle se dégage, faisant sortir de son con la queue débandée de son amant et s’emploie à la nettoyer de sa langue agile et impudique, recueillant ainsi foutre et mouille mêlés. Jacques fait de même, faisant disparaître de la vulve les sécrétions, puis ils échangent un savoureux baiser plein de leurs sucs intimes qu’ils s’échangent. — Le jeune paysan que j’ai déniaisé, dit Emmanuelle couchée sur le ventre, ses fesses rebondies en pleine lumière, eh bien c’est ici que je l’ai rencontré pour la première fois. Je me baignais nue par un chaud après-midi. J’ai perçu sa présence dans les buissons. ...
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