Origine espagnole
Datte: 13/09/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
lunettes,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
... fer au milieu de la pièce. Et elle referme la porte derrière nous. — Je leur ai dit que nous sommes mariés, voyager avec un ami ils n’auraient pas compris, se croit obligée de justifier Claudine… Vous dormez de quel côté ? Mais elle croit que je vais vraiment dormir, moi qui ai horreur de faire la sieste ? Je reste debout, les bras ballants, un peu dépité. Elle s’est rapprochée du lit et, comme je ne bouge toujours pas, elle se retourne vers moi et elle éclate de rire : — Allons, ne faites pas cette tête, si je vous ai amené ici, c’est d’abord parce que j’avais besoin d’un « mari », mais aussi et surtout parce que je veux vous montrer quelque chose. Très lentement, je la vois remonter sa jupe et là, première surprise, elle est entièrement nue dessous. Sa touffe est toujours aussi provocante qu’à la plage. — Je vais vous dire un secret, Hervé, si vous me promettez de le garder. Je peux vous faire confiance ?— Bien sûr, que je réponds, fasciné par le spectacle.— Au bureau je viens très souvent travailler comme ça. C’est mon amie qui me le demande. Au bureau… la chatte à l’air ! — Et puis, ce n’est pas tout. Elle tire sur une petite ficelle qui émerge de son sexe et en extrait deux boules de geishas. Je suis subjugué par tant d’audace. Dire que depuis ce matin, elle a ça dans la chatte ! Et la voici maintenant qui dégrafe son tailleur et son chemisier dans la foulée. Et là, nouvelle surprise, son soutien-gorge est très original, particulièrement sexy, en dentelle, et troué au ...
... niveau des seins. — Vous savez Hervé, ce n’est pas parce que je préfère les femmes que je déteste les hommes. Or, depuis l’autre jour, depuis que j’ai vu votre virilité, je dois dire que ça m’a donné des idées. Elle est folle, la voici qui se caresse le bout du sein d’une main et la touffe de l’autre, tout ça, sans conteste, pour m’exciter. Et je dois dire que toutes ces révélations m’ont mis l’eau à la bouche et que j’ai l’incendie dans la culotte. N’en pouvant plus, je libère mon sexe dur qui pointe vers l’horizon. En fait de vieille fille, c’est une lesbos vicieuse aux goûts très éclectiques. Dire qu’elle vient probablement de temps en temps avec ses boules de geisha au bureau ! Combien de collègues sont dans son cas ? Probablement aucune. Ça doit être la seule, l’unique, la plus cochonne de la boîte. Elle s’approche de moi, s’agenouille à mes pieds et prend sans hésiter ma tige toute raide dans ses mains. Puis, toujours sans faire de discours, elle l’enfourne dans sa bouche et entame une série de va-et-vient incessants. A ce rythme, je vais jouir trop vite. Je lui prends délicatement la tête et la fais se redresser. Sa bouche entre en contact avec la mienne. Un long baiser, merveilleux, passionné, sensuel et profond. Claudine se penche à nouveau sur moi et engloutit mon engin de plaisir. Elle me suce plus calmement, avec un immense désir, elle voudrait m’avaler tout entier, mais son bas-ventre me réclame encore plus que sa bouche. Elle me repousse sur le lit en détachant sa ...