1. Pour une Queue Montrée (3)


    Datte: 15/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... scrupules toute à l’heure à montrer mes parties génitales, maintenant j’étais détendu et même heureux d’être ainsi devant ma sœur, comme avec une autre fille. Laurianne avait dans le même temps retiré son chemisier pourpre, puis commença à s’allonger sur mon torse en y collant sa poitrine en soutien-gorge noir légèrement dentelé. Un soutien-gorge bien habité, au demeurant ! Cette qualité, il faut le dire, était de famille. Ma partenaire se lova contre moi, ronronnant comme un chat pour finir par m’embrasser chaudement dans le cou, sa main caressant mon pectoral. Puis elle se dressa sur ses bras et avança son buste contre mon visage. — Tiens, me dit-elle en souriant. Je sais que tu aimes les seins. L’avantage quand on partage tous nos ébats et nos fantasmes avec quelqu’un, c’était que si l’on devait coucher ensemble un jour, on savait déjà ce qui ferait plaisir ou non. Et pour lui avoir raconté nombre de branlettes espagnoles – et adoré entendre celles qu’elle faisait – Laurianne pouvait prendre sans douter des initiatives avec ses nichons. Je m’étais vite retrouvé le nez dans le décolleté. Qu’ils étaient doux, qu’ils sentaient bon ! En soupirant, je les baisai avec passion et les pris de mes deux mains pour les malaxer, même encore habillés. Ce détail de perdura pas, car à un moment où ma sœur s’était allongée sur moi pour nous caresser et nous câliner, j’eus tôt fait de dégrafer son soutien-gorge. Elle se redressa, un bras contre sa poitrine, pour retirer son vêtement. ...
    ... Je ne voyais toujours pas ses tétons, mais cette fausse pudeur était incroyablement belle et excitante car je pouvais quand même voir la courbe lisse du bas de ses seins. Au bout d’un court moment, avec un sourire, elle retira son bras. Si Laurianne avait une poitrine de belle taille avec ses habits, elle était de belle apparence au naturel aussi ! Les tétons roses et parfaitement proportionnés, une courbe lisse et nette, du volume en avant… Un 90C, m’avait-elle dit une fois. Ou était-ce du D… ? Je ne m’en souviens plus. Peu importe, ils étaient charmants. Nous nous étreignîmes encore un instant, nous inondant de caresses et de baisers vigoureux et passionnés. Puis, allongés sur le côté, ma sœur me regarda profondément dans les yeux. Je bandais toujours aussi bien, et cette fixation augurait de bonnes choses : c’était un regard qui criait « Baise-moi ! » — Derrière toi, me dit-elle. Troisième tiroir. Y’a des capotes. Oh oui ! Oui, oui, oui, oui, oui !!! Oh, que j’attendais ça ! Je me retournai vers la table de nuit, ouvris le troisième tiroir et y trouvai effectivement une boîte de préservatifs ouverte à côté du vibro de ma sœur. Je déchirai une pochette et revins vers Laurianne, le capuchon entre les doigts. —Donne. Je veux te le mettre. Vu que ma bite était dure, ce fut très facile pour ma partenaire de le dérouler avec maîtrise, et bien jusqu’à la base. C’était bon de sentir ses doigts. J’étais à présent aussi à l’aise que si Laurianne avait été une fille « normale ». — ...
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