1. Pour une Queue Montrée (3)


    Datte: 15/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Levrette ? Missionnaire ? Cow-girl ? lui demandai-je pour commencer. — Levrette, oui. Faut-il préciser mon ravissement ? Les quatre pattes, c’était la position préférée de Laurianne. Comme de beaucoup, beaucoup de filles et de femmes. Et bien sûr, j’aimais ça aussi : vue parfaite du cul de ma partenaire, de ma queue qui va et vient, du dos, des reins… Dommage qu’on ne puisse pas voir le visage et les seins ! Me voilà derrière. Je caressai une dernière fois sa chatte pour constater avec plaisir sa forte humidité. Je passai un peu de cyprine sur mon sexe et le collai au sien, caressant les lèvres intimes avec mon gland tout rouge-violet de sang et de désir. Et, tenant ma partenaire par les hanches, je poussai doucement mon bassin pour faire entrer mes premiers centimètres. Laurianne siffla entre ses dents avant de gémir, avec un léger sursaut et un cambrage des vertèbres. Rapidement, je sentis la chair de poule sous ma paume. Mais ce qui arrivait à la jeune femme m’arrivait également : moi aussi je me mis à doucement râler au contact du vagin et de sa chaleur, ainsi qu’à éprouver le frisson de la pénétration. J’entamai quelques premiers va-et-vient très lents, pour m’enfoncer petit à petit, toujours sous les complaintes laconiques de ma partenaire. Ce n’était qu’au moment où j’avais toute ma verge enfoncée, à pouvoir toucher ses fesses, que je me mis à un rythme plus régulier, un peu plus rapide. Putain… J’étais en train de baiser ma sœur… L’inimaginable devenu réalité. ...
    ... C’était… bon. Et même très bon. Mais oui ! Ça me procurait un plaisir que je n’aurais jamais soupçonné ! À peine avait-on commencé que je prenais déjà un pied d’enfer ! Était-ce dû au fait qu’elle était une femme superbement gaulée, avec un cul que j’avais peine à quitter des yeux ? Ou bien juste parce qu’elle était ma sœur aînée ? Peut-être un peu des deux, je ne sais pas. Mais j’aurais éjaculé depuis longtemps, c’est sûr. Heureusement que j’avais couché quelques heures avant, ce qui me rendait endurant ; en fait j’étais tout gagnant aujourd’hui : non seulement dans les lits de deux filles, mais aussi l’énorme excitation me donnait une trique du tonnerre, et le sperme restait un peu à la traîne du fait d’avoir été sollicité récemment, et en bonne quantité en plus. Tac ! Tac ! Tac ! Tac ! Tac ! Tac ! Tac ! Plusieurs minutes maintenant que nous étions à quatre pattes. Après des envois de reins très divers, je maintenais un rythme vif et régulier en prenant plaisir à écouter nos peaux claquer contre les fesses rondes. Tandis que sa voix et ses poumons vivaient et exprimaient les réactions de son sexe, je prenais Laurianne par la fesse avec ma main droite et appuyais sur ses reins avec la gauche. — Humm ! … Hm ! Ah ! Ah oui… Oui… ! Comme ça… ! Oooh, encore ! Elle était tête baissée, jusqu’à ce qu’elle ne la relève d’un coup pour dire ces deux derniers mots. Seize centimètres bien utilisés, en général ça faisait son effet ! On avait beau rester dans la même position, ça ne nous lassait ...
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