1. Pour une Queue Montrée (3)


    Datte: 15/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de ma belle étaient plus calmes et plus profonds, accompagnés de râles sensuels. Sa main me caressait la tête et son autre se tâtait entre ma nuque et mes omoplates. Après l’avoir embrassée intensément dans le cou et l’épaule, je fis face à ma sœur. Nous nous regardâmes avec du feu dans les pupilles, tout sourires. Je donnai une bise sur sa joue, une deuxième, puis sur sa bouche, plein de petits baisers à la suite. Je la prévins : ça venait. J’avais beau tout avoir fait pour retarder l’échéance, maintenant ça devenait stupide et il fallait nous arrêter. À chaque entrée de verge j’augmentais un peu le rythme en m’élevant, bras tendus. Je regardais le visage de Laurianne avec son sourire et son regard, ses joues rouges. Je regardais ses seins, ronds et doux qui marquaient le rythme de mes coups. Je regardais son sexe, et le mien qui vigoureusement maintenant le visitait. Puis je revins aux beaux yeux de la jeune femme, afin de lui faire face au moment d’éjaculer. Je contractai ma queue aussi fort que je le pouvais, je maintenais le regard, je grognais, je soufflais… Parfois c’était plus fort que moi, je crispais les yeux. Laurianne me disait des choses sales, me parlait de ma bite, de son vagin, de mon sperme pour m’encourager ! — Ooooh !!! Pu… tain ! Mon visage se contracta alors que je poussais un cri de joie ! Je sentais le tir, puissant et abondant. Ma bite crachait tout ce qu’elle pouvait. J’ai eu un micro-instant de noir, ...
    ... d’inconscience. Je devais reprendre mon souffle, et pendant peut-être vingt, trente secondes, tout ce qui me restait de conscience était en train de remettre mon cerveau à l’endroit. Un peu calmé, je regardai Laurianne. Elle était radieuse, ravie. Encore pris par l’orgasme, je me mis à rire et elle m’accompagna. À présent j’étais sur les coudes, plus proche d’elle, pour lui donner des baisers. Ma queue était toujours à l’intérieur, encore droite. Les féminines cuisses me caressaient la taille et les hanches sensuellement. Nous ne trouvâmes rien à dire. Trop d’émotions. Tout se faisait par baisers et caresses. Je me retirai de ma partenaire, puis enlevai le préservatif. J’avais joui plus fort que toute à l’heure, autant dans les sensations que dans l’émission. D’habitude c’était l’inverse. Réaction intérieure typiquement masculine, j’étais fier d’avoir autant rempli la capote. Une fois nouée et jetée dans la corbeille à côté du lit, me revoilà près de ma sœur. Nous nous enlaçâmes. Il fallut de longues minutes pour nous permettre, à Laurianne et à moi, de redescendre de nos petits nuages. À la fin, je lui donnai quelques derniers baisers partout – y compris sur ses seins et sa vulve encore chaude – et rassemblai mes vêtements en boule dans mes bras, puis je sortis de la chambre en regardant une dernière fois ma sœur avec un grand sourire, plein de bonheur de cette partie de sexe. Je traversai le couloir à poil pour rejoindre ma chambre. 
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