Pour une Queue Montrée (3)
Datte: 15/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... pas du tout. Je m’arrêtai un instant pour reprendre mon souffle, avant de réattaquer avec puissance. vxmvzzah — Hmmm ! T’aimes ça hein ? — Oh oui ! Tu baises bien ! Il fallait tout de même reconnaître que je n’étais pas seul responsable de son plaisir ; même si ma queue était de belles dimensions, Laurianne contractait beaucoup son vagin et par conséquent augmentait la sensibilité de nos frottements. Me voilà à exprimer plus fortement mon bien-être : je soupirais, râlais, grognais ! Mes testicules, tout chauds et la peau détendue, tapaient doucement contre la vulve humide et s’y collaient un peu de temps en temps. Ah, j’aurais volontiers pris une photo de nos organes, s’il ne fallait pas quitter le lit pour prendre l’appareil de Laurianne. — Oh Greg ! Je veux prendre le contrôle ! Entendant sa requête, je m’arrêtai et sortit de sa chatte brûlante pour m’allonger sur le dos. Tandis qu’elle faisait passer sa cuisse de l’autre côté, ma sœur m’embrassa chaleureusement sur la bouche en me caressant la joue. Elle se redressa, prit à pleine main ma bite pour l’aligner et s’empala aussitôt dessus. Enfin nous nous faisions face ! Je ne dis pas que sa croupe était lassante, bien au contraire – je pouvais regarder des culs à longueur de journée – mais c’était aussi agréable de voir sa partenaire pendant la baise, fût-elle notre sœur ou une parfaite inconnue. Une femme, ce n’était pas seulement une paire de fesses. Et puis les réactions faciales de Laurianne étaient un spectacle fort ...
... plaisant. Elle levait souvent la tête, presque toujours les yeux fermés. Sa bouche était tantôt ouverte, tantôt serrant les dents, tantôt fermée. Et ses sourcils eux aussi dansaient. J’avais la chance – ou pas – de repérer tout de suite une fille en train de simuler. Eh bien Laurianne ne faisait rien de tout cela ! Elle aimait faire l’amour, et demander à se mettre sur moi n’était pas une marque de maladresse à corriger de ma part, mais bien une volonté à se retrouver dessus et éprouver d’autres sensations. Ma partenaire sautait sur mon pubis avec force. Ses cuisses et ses genoux m’entravaient les hanches et les flancs. Elle tenait ses cheveux contre sa gorge, ce qui faisait dans cette posture de califourchon un tableau incroyablement sexy de cette belle jeune femme dans la fleur de l’âge. Ses seins rebondissaient légèrement, fermes, et j’aurais bien dit que ça me faisait bander si ce n’était pas déjà le cas. Je n’ai jamais trouvé ma sœur aussi belle qu’en ce moment. Belle dans sa nudité, belle dans son action de luxure ; j’étais en tous points heureux d’avoir ses faveurs, et jalousais un peu ceux qui lui faisaient régulièrement l’amour. Oh, là elle prenait complètement son pied ! Ses râles étaient puissants, elle avait ses deux mains en appui sur mon torse. Puis elle remit une grosse mèche de cheveux derrière son épaule ; dommage, j’adore quand les filles ont une partie de leur crinière devant le visage, ça leur donne un côté actif, instantané et sauvage. Nous échangeâmes un ...