1. Marie se réconcilie avec son corps


    Datte: 16/09/2019, Catégories: f, fh, hplusag, hagé, voisins, complexe, revede, Masturbation nopéné, init,

    Dans le premier épisode : Marie a connu l’amour pour la première fois de sa vie avec son petit ami Nicolas, à l’occasion d’une fête de fin d’année, dans une voiture.Elle qui attendait tant de cette première fois est immensément déçue. Son jeune amant, inexpérimenté, n’a songé qu’à son plaisir. Après cette première expérience qui fut une cruelle désillusion amoureuse et un terrible échec sexuel, pour oublier je suis partie effectuer un séjour avec ma famille en Bretagne dans un endroit calme et reposant… Toujours depuis cet épisode avec Nicolas, je ne me masturbe plus. J’ai perdu le goût du plaisir sexuel. Même ma mère s’inquiète un peu. Elle s’étonne que je ne veuille plus voir Nicolas, ni aucun autre garçon. Elle m’a même dit l’autre jour qu’elle avait l’impression qu’au lieu de devenir l’adulte qui allait bientôt les quitter pour voler de ses propres ailes dans la capitale, elle avait l’impression de retrouver la jeune fille timide d’il y a quelques années. Maintenant, les vacances sont terminées et, depuis trois ou quatre semaines, j’essuie les bancs de la célèbre grande école de Sciences Politiques à Paris. Mes parents ont trouvé un studio dans un quartier relativement calme à quelques encablures, en métro, de l’école. Ce studio se situe dans un vieil immeuble au premier étage ; le propriétaire, un brave homme d’une soixantaine d’années, réside au rez-de-chaussée. Depuis le début des cours, mon emploi du temps est monotone : boulot, révision, dodo… Afin de casser ce ...
    ... rythme, j’ai décidé ce soir d’assister à une conférence à quelques centaines de mètres de l’appartement. Vers vingt heures, je me change (je suis toujours vêtue sérieusement, sans provocation, même pas trop sexy : jean, pull de coton) et quelques instants plus tard me voilà partie. Vers minuit, la conférence est terminée. Maintenant, il faut rentrer… Après une centaine de mètres, le trottoir semble plus sombre ; des bruits étranges résonnent, des ombres surgissent. Un peu affolée, je poursuis ma fuite en avant en courant. J’atteins l’appartement encore éclairé de M. Jacques Vidal, mon propriétaire. Je me précipite sur la sonnette de la porte et lui demande : — Monsieur Vidal, c’est moi, Marie ; ouvrez-moi ! Vite ! Le propriétaire, un peu hébété, ouvre la porte. Il est vêtu d’un peignoir et je m’accroche à son cou pour lui conter ce qui vient de m’arriver… — Mais que se passe-t-il, mon enfant ?— Je marchais dans la rue lorsque j’ai aperçu des ombres et j’ai entendu des bruits étranges. J’ai eu vraiment peur de me faire agresser et me suis enfuie. Vous êtes le seul que je connaisse ici et je ne voulais pas rester seule, même dans ma chambre.— Viens ; allons nous asseoir sur le canapé. Je vais te préparer un remontant. Quelques instants après, il revient avec deux verres remplis d’un liquide blanchâtre. — Bois, ça va te faire du bien. Je bois cul sec cet alcool bien fort, puis un deuxième et un troisième verre. Ensuite, nous discutons de choses et d’autres sans grand intérêt. Je me ...
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