1. Marie se réconcilie avec son corps


    Datte: 16/09/2019, Catégories: f, fh, hplusag, hagé, voisins, complexe, revede, Masturbation nopéné, init,

    ... J’ai envie qu’il continue. — Continuez, je vous en prie ; ne soyez pas cruel…— Non, Mademoiselle, me répond-t-il en affichant un sourire plein de mystère, chaque chose en son temps. Apprenez à goûter et à ce que l’on vous fasse goûter. Il prend mon soutien-gorge et me le remet délicatement. Il semble prendre un grand plaisir à replacer mes seins dans les bonnets et à me passer les bretelles sur les épaules. Pour me l’agrafer, il appuie son buste contre ma poitrine, ce qui me donne encore plus envie qu’il me la pétrisse à nouveau. Quand il s’écarte de moi de manière définitive, je remets mon pull, résignée. Quand je me lève, je me retourne et je m’aperçois qu’il jette un coup d’œil, avec envie, sur mes fesses. Ce n’est donc pas uniquement la volonté de me frustrer qui motive l’interruption de ses caresses. Il restreint aussi son envie de découvrir le reste de mon corps. Il a commencé mon éducation sexuelle et il semble que cet homme affable et âgé soit un excellent professeur dans ce domaine. Il me raccompagne jusqu’à sa porte. — À toi de choisir le moment de ta prochaine leçon, si tu souhaites que cela continue. Il m’embrasse sur le front et referme la porte en souriant. Je monte chez moi. Je me déshabille. Ma petite culotte est pleine de cyprine à l’endroit où elle recouvrait ma vulve. Je fais une indispensable petite toilette intime avant de passer mon tee-shirt de nuit. J’essaie de m’endormir, mais n’y parviens pas. Monsieur Vidal m’a réveillée sexuellement, tel un volcan ...
    ... endormi qui vient de connaître une soudaine et inattendue éruption après des millénaires de calme. Je suis encore tout excitée, et pour la première fois depuis que Nicolas m’a baisée, je ressens le besoin d’écarter les cuisses. Tout doucement, ma main s’enfouit dans ma toison. Je ferme les yeux et m’imagine qu’un homme, un homme mûr, examine mon intimité. J’ai un visage en tête : pas celui de Monsieur Vidal, mais un visage inconnu d’un beau garçon dont les yeux brillent à l’idée de découvrir mes mystères. Ce n’est plus mon doigt qui caresse maintenant mes grandes lèvres, mais celui de ce bel homme. Les doigts ouvrent délicatement celles-ci et déploient délicatement les petites lèvres en tirant légèrement dessus. Les doigts se dirigent maintenant vers le vestibule du vagin afin d’y recueillir la cyprine nécessaire pour la suite des opérations. Il l’étale sur les petites lèvres et sur le capuchon du clitoris maintenant durci. Deux doigts le font coulisser et le plaisir débute. Ils s’activent d’abord lentement en appuyant légèrement sur le bouton et appliquent des mouvements circulaires de plus en plus rapides. J’ouvre les yeux et sors de mon songe pour sortir des draps, écarter les jambes et être à l’aise pour me donner le plaisir que je m’étais refusé depuis ma défloration. J’en profite pour relever mon tee-shirt au-dessus de mes seins dont les tétons ont maintenant durci comme sous les doigts de monsieur Vidal. Je ferme à nouveau les yeux et mon bel amant imaginaire me tire ...