Parfois, il faut forcer le destin...
Datte: 06/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
hdomine,
noculotte,
entreseins,
Oral
pénétratio,
Plusieurs semaines se sont écoulées depuis que j’ai fait l’amour avec Anita, une amie de ma mère mais je n’ai eu aucune nouvelle. Elle était bien venue revoir ma mère chez nous, mais toujours lorsque j’avais cours, comme si elle cherchait à m’éviter. Cela m’énervait un peu car j’avoue que j’avais très envie de coucher à nouveau avec elle, même si elle m’avait prévenu que ce serait la seule et unique fois. Mes pensées allaient toutes vers elle lors de mes plaisirs solitaires. J’ai couché avec une autre fille de mon âge après coup, mais je n’ai pas retrouvé les mêmes sensations qu’avec cette quarantenaire, cette « MILF » comme on dit maintenant. Je savais que, malgré le fait qu’elle savait qu’il l’avait trompée, elle était restée avec son mari et je désespérais de pouvoir la retoucher un jour. Mon espoir se ralluma lorsqu’au détour d’une conversation j’ai appris que mes parents devaient aller manger chez eux. Faisant mine de rien, je demandai à ma mère si je pouvais les accompagner, prétextant ne pas les avoir vus depuis longtemps. Ma mère, loin de se douter de ce qui s’était passé, n’y vit pas d’inconvénient, bien au contraire. Elle s’empressa d’appeler Anita et tomba sur son mari qui accepta, bien évidement. Le soir venu, j’accompagnai donc mes parents. Je m’étais vêtu simplement d’un jean et d’une chemise. Ce fut son mari qui nous ouvrit la porte et nous accueillit avec un grand sourire. Cependant, l’accueil d’Anita à mon égard fut assez froid, même si elle essayait de ne ...
... pas le montrer. Elle était vêtue d’un chemisier rouge et d’une jupe noire assez courte et assez moulante. Nous avons pris l’apéro dans le salon et j’ai passé tout mon temps à mater mon amante d’un jour. Comme elle était assise dans un canapé assez mou, elle s’enfonçait dans les coussins, ce qui avait pour effet de remonter sans arrêt sa jupe sur ses cuisses gainées de nylon. Pour le repas, je réussis à m’asseoir à côté d’elle ; la nappe longue qui tombait de la table me permettait de glisser ma main sur ses cuisses en toute discrétion. Au début, je me contentai de la frôler avec ma main mais, voyant qu’elle ne disait rien, j’ai collé ma cuisse contre la sienne. Je sentais du reproche dans son regard, mais elle n’essaya pas de s’écarter de moi. Je me suis donc enhardi et ma main a donc remonté lentement le long de sa cuisse. Cela me permit de sentir l’élastique d’un bas avec lequel j’ai joué quelques minutes, puis ma main est encore remontée plus haut, jusqu’à sentir le tissu trempé de son string. Au contact de mes doigts sur son sexe, je la sentis se contracter et serrer ses cuisses autour de ma main. Ce petit jeu dura quelques minutes mais cessa quand elle se leva pour aller chercher le dessert. À son retour, ma main repartit aussitôt vers le même endroit et y trouva la même chaleur moite. Cependant, extérieurement, elle ne laissait rien paraître. Elle se leva à nouveau pour aller chercher le café, et dès qu’elle fut revenue à sa place, ma main retourna vers son puits d’amour ...